Ou, quelqu'un peut trouver une route de campagne et la conduire le plus vite qu'il voudra oser. Dans ma demi-heure sur des routes serrées autour
du Mont Tremblant, je n'osais pas beaucoup, en voyant de cette occasion de plutôt pouvoir d'avoir une sensation de la voiture en conditions réelles--et de se délecter sur l'attention des voyants. Dans le Québec rural, évidemment, les conditions de la route ne sont que légèrement plus lisses que la surface de la lune, l'idée d'entretien des routes du Ministère des Transports étant de lancer un peu d'asphalte par-dessus les nids-de-poule à chaque printemps.
Considérant les routes, la F430 s'est comportée avec aplomb, en ne se sentant pas du tout nerveuse durant les occasionnels... d'accord, durant les fréquents moments de vitesses illégales qu'elle a joyeusement livrés. Une limite de vitesse n'a jamais semblée aussi lente, et l'absence de la police locale n'a jamais été aussi appréciée.
L'interface conducteur-machine en était une qui m'a agréablement surpris à plusieurs niveaux. Les vieilles histoires de Ferrari et autres voitures italiennes nécessitant de très longs bras et des jambes courtes sont loin derrière, car ma charpente de 6 pieds 2 pouces a été bien accommodée, même en dégagement pour la tête. Les sièges supportaient bien dans toutes les directions importantes, et encore, on ne s'attend à rien de
moins. Le compte-tours, gros et de couleur jaune, repose en plein centre du tableau d'instrumentation.
La visibilité extérieure, quoique pas aussi bonne que dans une berline, est raisonnable, spécialement qu'il n'y ait aucun aileron pour obstruer la vue. Tous les trucs aérodynamiques sur la F430, développés dans le programme de F1, sont en dessous de la voiture.
Le conducteur peut choisir un de cinq réglages pour l'électronique et la transmission, à l'aide du sélecteur « manettino » sur le volant. Ce qui est drôle, c'est que le réglage le plus « sécuritaire », celui avec le maximum d'intervention, est intitulé « Ice », ou Glace (comme si...), et cela dit qu'aucune F430 ne sera conduite avec ce réglage.
 |
| Une limite de vitesse n'a jamais semblée aussi lente, et l'absence de la police locale n'a jamais été aussi appréciée. (Photo: Gerry Fréchette, Canadian Auto Press) |
Considérant les routes, la F430 s'est comportée avec aplomb, en ne se sentant pas du tout nerveuse durant les occasionnels... d'accord, durant les fréquents moments de vitesses illégales qu'elle a joyeusement livrés. Une limite de vitesse n'a jamais semblée aussi lente, et l'absence de la police locale n'a jamais été aussi appréciée.
L'interface conducteur-machine en était une qui m'a agréablement surpris à plusieurs niveaux. Les vieilles histoires de Ferrari et autres voitures italiennes nécessitant de très longs bras et des jambes courtes sont loin derrière, car ma charpente de 6 pieds 2 pouces a été bien accommodée, même en dégagement pour la tête. Les sièges supportaient bien dans toutes les directions importantes, et encore, on ne s'attend à rien de
 |
| Le compte-tours, gros et de couleur jaune, repose en plein centre du tableau d'instrumentation. (Photo: Gerry Fréchette, Canadian Auto Press) |
La visibilité extérieure, quoique pas aussi bonne que dans une berline, est raisonnable, spécialement qu'il n'y ait aucun aileron pour obstruer la vue. Tous les trucs aérodynamiques sur la F430, développés dans le programme de F1, sont en dessous de la voiture.
Le conducteur peut choisir un de cinq réglages pour l'électronique et la transmission, à l'aide du sélecteur « manettino » sur le volant. Ce qui est drôle, c'est que le réglage le plus « sécuritaire », celui avec le maximum d'intervention, est intitulé « Ice », ou Glace (comme si...), et cela dit qu'aucune F430 ne sera conduite avec ce réglage.