La persévérance constitue une qualité dont jouissent plusieurs manufacturiers automobiles, particulièrement ceux qui proposent une minifourgonnette. Spacieuse et pratique, mal aimée et ridiculisée, la minifourgonnette dispose d'un nom, disons, ambigu : à part la Mazda5, le reste de ces véhicules ne sont plus 'mini' du tout.
En fait, selon l'Office de la langue française, ces véhicules se nomment simplement des fourgonnettes lorsqu'on compte sept places et plus.
La Nissan Quest représente un bon exemple de ce gabarit imposant. Elle est longue, haute et large. De plus, elle arbore un style prenant une direction totalement différente de ses concurrentes, incluant la plus populaire du segment par un écart considérable, la Dodge Grand Caravan. Alors que les autres tentent un look sportif, profilé et dynamique, la carrosserie carrée de la Quest ressemble à un grille-pain sur roues, surtout avec les deux toits ouvrants à glaces teintées.
Être différente, s'agit-il d'une bonne stratégie? Eh bien, dans ce cas-ci, cela ne peut certainement pas nuire.
Motorisation musclée
À l'instar de plusieurs produits Nissan, la Quest obtient un V6 rugissant de 3,5 litres développant 260 chevaux et un couple de 240 livres-pied. Jumelé à une boîte automatique à variation continue (communément appelée CVT), qui fonctionne très bien dans cette application, la fourgonnette se déplace férocement : le 0-100 km/h s'effectue en 7,7 secondes, alors que le quart de mille se boucle en 15,7 secondes à 149 km/h.
Bien qu'assez rapide, on parle tout de même de quelques dixièmes plus lents que les Grand Caravan et Chrysler Town & Country de 283 chevaux, ainsi que la Kia Sedona à 271 chevaux. Malgré tout, la réaction agressive de l'accélérateur et la trame sonore du moteur nous incitent à se frotter aux voitures sportives lors des décollages aux feux de circulation. La Quest profite également de freins très efficaces.
De plus, la boîte CVT gère le régime-moteur du V6 efficacement : à 100 km/h sur l'autoroute, le compte-tours affiche 1 700 tr/min, et notre moyenne de consommation de 11,8 L/100km s'avère très respectable.
En fait, selon l'Office de la langue française, ces véhicules se nomment simplement des fourgonnettes lorsqu'on compte sept places et plus.
La Nissan Quest représente un bon exemple de ce gabarit imposant. Elle est longue, haute et large. De plus, elle arbore un style prenant une direction totalement différente de ses concurrentes, incluant la plus populaire du segment par un écart considérable, la Dodge Grand Caravan. Alors que les autres tentent un look sportif, profilé et dynamique, la carrosserie carrée de la Quest ressemble à un grille-pain sur roues, surtout avec les deux toits ouvrants à glaces teintées.
Être différente, s'agit-il d'une bonne stratégie? Eh bien, dans ce cas-ci, cela ne peut certainement pas nuire.
Motorisation musclée
À l'instar de plusieurs produits Nissan, la Quest obtient un V6 rugissant de 3,5 litres développant 260 chevaux et un couple de 240 livres-pied. Jumelé à une boîte automatique à variation continue (communément appelée CVT), qui fonctionne très bien dans cette application, la fourgonnette se déplace férocement : le 0-100 km/h s'effectue en 7,7 secondes, alors que le quart de mille se boucle en 15,7 secondes à 149 km/h.
Bien qu'assez rapide, on parle tout de même de quelques dixièmes plus lents que les Grand Caravan et Chrysler Town & Country de 283 chevaux, ainsi que la Kia Sedona à 271 chevaux. Malgré tout, la réaction agressive de l'accélérateur et la trame sonore du moteur nous incitent à se frotter aux voitures sportives lors des décollages aux feux de circulation. La Quest profite également de freins très efficaces.
De plus, la boîte CVT gère le régime-moteur du V6 efficacement : à 100 km/h sur l'autoroute, le compte-tours affiche 1 700 tr/min, et notre moyenne de consommation de 11,8 L/100km s'avère très respectable.
 |
| La Quest est équipée du célèbre V6 de 3,5 litres de Nissan, produisant ici 260 chevaux. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |