Mécanique
Le moteur 1,8T à quatre cylindres en ligne développant 170 che-vaux, qui est livré sur la Passat, est aussi le même que sur la A4. Il a la particularité d'être nerveux et de répondre rapidement aux besoins d'un conducteur plus porté sur la vitesse. Normal, me direz-vous, car après tout il fonctionne à des régimes habituellement plus élevés, ou du moins plus près de son niveau optimal de poussée. Le plus costaud, le V6, dont la puissance est de 190 chevaux, pourrait faire bon usage d'une vingtaine de chevaux de plus pour rivaliser avec la concurrence. La boîte automatique n'est pas parfaite non plus, mais la patience est le mot d'ordre, l'accélération n'étant pas la force de ce modèle. On appréciera plutôt sa conduite, une fois la vitesse de croisière atteinte. Son freinage est moins prononcé et les reprises n'ont pas le mordant qu'on leur souhaiterait, peut-être en raison d'un léger embonpoint. On parle d'une différence de 182 kilos entre le modèle GLS 1.8T et GLS V6 4Motion, ce qui représente plus de 10 % du poids total de l'auto. Autre chose qu'on remarque : la rigidité du châssis a été accrue pour accueillir le nouveau moteur à 8 cylindres en W, un monstre. Celui-ci est attendu d'ici la fin de 2002. La Passat est aussi équipée de freins à disque ABS aux quatre roues qui répondent très bien à la demande.
Comportement
La conduite de la Passat est parti-culière. Toute personne ayant déjà conduit une Volkswagen sait qu'il s'agit d'une marque à part à ce chapitre, mais s'il était possible qu'un véhicule soit devenu l'archétype de la conduite à la Volks, ce serait sans doute la Passat. Du moins en ce qui concerne le sentiment de déjà vu qu'on ressent lorsqu'on met la main gauche sur le volant et la droite sur le pommeau du levier de vitesse. En ce qui a trait à la tenue de route, on a toutefois procédé à certains compromis pour ne pas offusquer les nouveaux adhérents à la philosophie VW. On ressent la douceur d'une grosse américaine en ligne droite, la rigidité à l'européenne de la suspension sur un parcours accidenté et la mollesse typique d'une voitu-re aux prétentions luxueuses dans les courbes. Le résultat est pourtant étonnant !
Le moteur 1,8T à quatre cylindres en ligne développant 170 che-vaux, qui est livré sur la Passat, est aussi le même que sur la A4. Il a la particularité d'être nerveux et de répondre rapidement aux besoins d'un conducteur plus porté sur la vitesse. Normal, me direz-vous, car après tout il fonctionne à des régimes habituellement plus élevés, ou du moins plus près de son niveau optimal de poussée. Le plus costaud, le V6, dont la puissance est de 190 chevaux, pourrait faire bon usage d'une vingtaine de chevaux de plus pour rivaliser avec la concurrence. La boîte automatique n'est pas parfaite non plus, mais la patience est le mot d'ordre, l'accélération n'étant pas la force de ce modèle. On appréciera plutôt sa conduite, une fois la vitesse de croisière atteinte. Son freinage est moins prononcé et les reprises n'ont pas le mordant qu'on leur souhaiterait, peut-être en raison d'un léger embonpoint. On parle d'une différence de 182 kilos entre le modèle GLS 1.8T et GLS V6 4Motion, ce qui représente plus de 10 % du poids total de l'auto. Autre chose qu'on remarque : la rigidité du châssis a été accrue pour accueillir le nouveau moteur à 8 cylindres en W, un monstre. Celui-ci est attendu d'ici la fin de 2002. La Passat est aussi équipée de freins à disque ABS aux quatre roues qui répondent très bien à la demande.
Comportement
La conduite de la Passat est parti-culière. Toute personne ayant déjà conduit une Volkswagen sait qu'il s'agit d'une marque à part à ce chapitre, mais s'il était possible qu'un véhicule soit devenu l'archétype de la conduite à la Volks, ce serait sans doute la Passat. Du moins en ce qui concerne le sentiment de déjà vu qu'on ressent lorsqu'on met la main gauche sur le volant et la droite sur le pommeau du levier de vitesse. En ce qui a trait à la tenue de route, on a toutefois procédé à certains compromis pour ne pas offusquer les nouveaux adhérents à la philosophie VW. On ressent la douceur d'une grosse américaine en ligne droite, la rigidité à l'européenne de la suspension sur un parcours accidenté et la mollesse typique d'une voitu-re aux prétentions luxueuses dans les courbes. Le résultat est pourtant étonnant !