COMPORTEMENT
Une fois lancée, la Celica ne souffre d'aucun complexe, sinon les accélérations peu convaincantes que procurent la boîte automatique. La tenue de route est excellente, la suspension indépendante est ferme et contribue à coller cette sportive au pavé. Quant à la direction, elle brille par sa précision et communique très bien. Le système de freins antibloquants (ABS), de série sur la GT-S et en option sur la GT, effectue un boulot irréprochable. À haute vitesse, l'insonorisation de l'habitacle est appréciable, tandis que le moteur ronronne tout doucement. Ce qui constitue une agréable surprise venant d'un engin à haut rendement.
HABITACLE
La présentation intérieure de la Celica est en harmonie avec l'allure sportive de ce coupé. Tout en rondeurs et en angles, le tableau de bord est moderne, agréable à l'oeil et original, en plus d'être un modèle au chapitre de l'ergonomie, avec ses commandes à la portée de la main. Seul détail qui pourrait en incommoder quelques-uns, les fameux porte-gobelets qui sont logés entre les deux sièges avant sont mal situés, pour autant qu'on y insère une tasse ou un verre; cela nuit alors au maniement du levier de vitesse.
CONCLUSION
La Celica est à n'en pas douter une routière qui s'apparente curieusement à la Série 3 de BMW sur certains aspects et à la Ford Mustang sur d'autres. Partageant un comportement routier semblable avec la douce allemande, elle possède les allures modernes de la fougueuse américaine. Mais là s'arrête toute comparaison. Le reste n'est que pur Toyota, confort et fiabilité en tête de liste. N'empêche, on aurait aimé un peu plus de piquant...
2e opinion
Luc Gagné -- Voici un jouet pour jeunes automobilistes et pour conducteurs d'âge mûr qui se sentent jeunes. La Celica stimule les sens, visuel et auditif, c'est sûr. Sa ligne audacieuse suggère une puissance débordante. La production d'adrénaline n'est toutefois pas aussi intense qu'on l'imaginerait, car les mécaniques proposées manquent de punch.
Une fois lancée, la Celica ne souffre d'aucun complexe, sinon les accélérations peu convaincantes que procurent la boîte automatique. La tenue de route est excellente, la suspension indépendante est ferme et contribue à coller cette sportive au pavé. Quant à la direction, elle brille par sa précision et communique très bien. Le système de freins antibloquants (ABS), de série sur la GT-S et en option sur la GT, effectue un boulot irréprochable. À haute vitesse, l'insonorisation de l'habitacle est appréciable, tandis que le moteur ronronne tout doucement. Ce qui constitue une agréable surprise venant d'un engin à haut rendement.
HABITACLE
La présentation intérieure de la Celica est en harmonie avec l'allure sportive de ce coupé. Tout en rondeurs et en angles, le tableau de bord est moderne, agréable à l'oeil et original, en plus d'être un modèle au chapitre de l'ergonomie, avec ses commandes à la portée de la main. Seul détail qui pourrait en incommoder quelques-uns, les fameux porte-gobelets qui sont logés entre les deux sièges avant sont mal situés, pour autant qu'on y insère une tasse ou un verre; cela nuit alors au maniement du levier de vitesse.
CONCLUSION
La Celica est à n'en pas douter une routière qui s'apparente curieusement à la Série 3 de BMW sur certains aspects et à la Ford Mustang sur d'autres. Partageant un comportement routier semblable avec la douce allemande, elle possède les allures modernes de la fougueuse américaine. Mais là s'arrête toute comparaison. Le reste n'est que pur Toyota, confort et fiabilité en tête de liste. N'empêche, on aurait aimé un peu plus de piquant...
2e opinion
Luc Gagné -- Voici un jouet pour jeunes automobilistes et pour conducteurs d'âge mûr qui se sentent jeunes. La Celica stimule les sens, visuel et auditif, c'est sûr. Sa ligne audacieuse suggère une puissance débordante. La production d'adrénaline n'est toutefois pas aussi intense qu'on l'imaginerait, car les mécaniques proposées manquent de punch.