Avec un nom tel que Porsche, on s’attend à des sièges très confortables, offrant un support exemplaire. Le Cayenne nous sert à souhait avec un maintien sportif, enveloppant et une excellente position de conduite.
L’épice
La version GTS offre un trop-plein de performance. Ce véhicule demeure véritablement un monstre routier. Le V8 de 4,8 litres ne développe rien de moins que 405 chevaux et 369 lb-pi de couple. Ces impressionnantes données sont-elles vraiment nécessaires? Je ne suis pas sûr, du moins, pas au quotidien. Justifié ou non, ce moteur se révèle fabuleux.
Le Cayenne est particulièrement évolué, audacieux même. Avec des performances de 0-100km/h en 5,9 secondes pour un utilitaire de ce format, on fait appel à notre côté émotif. Heureusement, la notion utilitaire atténue les choses un peu, car on bénéficie de beaucoup d’espace intérieur.
Le prix de telles performances se paie avec une consommation de 16L/100km en alimentation suprême. Ça représente beaucoup, mais considérant les exploits, c’est presque raisonnable.
Le travail de la transmission reste intéressant, quoique peu orienté vers le plaisir de conduire. Les sept rapports sont bien étagés, mais comme il s’agit d’une automatique avec palettes au volant, la conduite devient moins dynamique.
Les calibrations de la suspension et du châssis adaptées par le contrôle dynamique selon les conditions de route, procurent une tenue de route absolument phénoménale. La suspension demeure toujours un peu rigide, ce qui affecte légèrement le confort de roulement par rapport à la compétition. La suspension s’ajuste également en hauteur pour les activités extra-routières. Il faut cependant réaliser que le Cayenne peut battre certains sentiers, mais ce n’est certainement pas l’endroit où il dévoile son meilleur. Sur circuit, sa taille et son poids le handicapent.
Les gros étriers de frein peints en rouge se montrent à la hauteur de leur image, très puissants. Dans le cas du Cayenne ça devient une nécessité, puisque les performances sont incroyables et qu’il affiche tout de même un poids de 2 225 kg.
 |
| Les calibrations de la suspension et du châssis adaptées procurent une tenue de route absolument phénoménale. |
L’épice
La version GTS offre un trop-plein de performance. Ce véhicule demeure véritablement un monstre routier. Le V8 de 4,8 litres ne développe rien de moins que 405 chevaux et 369 lb-pi de couple. Ces impressionnantes données sont-elles vraiment nécessaires? Je ne suis pas sûr, du moins, pas au quotidien. Justifié ou non, ce moteur se révèle fabuleux.
Le Cayenne est particulièrement évolué, audacieux même. Avec des performances de 0-100km/h en 5,9 secondes pour un utilitaire de ce format, on fait appel à notre côté émotif. Heureusement, la notion utilitaire atténue les choses un peu, car on bénéficie de beaucoup d’espace intérieur.
Le prix de telles performances se paie avec une consommation de 16L/100km en alimentation suprême. Ça représente beaucoup, mais considérant les exploits, c’est presque raisonnable.
Le travail de la transmission reste intéressant, quoique peu orienté vers le plaisir de conduire. Les sept rapports sont bien étagés, mais comme il s’agit d’une automatique avec palettes au volant, la conduite devient moins dynamique.
Les calibrations de la suspension et du châssis adaptées par le contrôle dynamique selon les conditions de route, procurent une tenue de route absolument phénoménale. La suspension demeure toujours un peu rigide, ce qui affecte légèrement le confort de roulement par rapport à la compétition. La suspension s’ajuste également en hauteur pour les activités extra-routières. Il faut cependant réaliser que le Cayenne peut battre certains sentiers, mais ce n’est certainement pas l’endroit où il dévoile son meilleur. Sur circuit, sa taille et son poids le handicapent.
Les gros étriers de frein peints en rouge se montrent à la hauteur de leur image, très puissants. Dans le cas du Cayenne ça devient une nécessité, puisque les performances sont incroyables et qu’il affiche tout de même un poids de 2 225 kg.
 |
| Le V8 de 4,8 litres ne développe rien de moins que 405 chevaux et 369 lb-pi de couple. |