Des rivales redoutables
Sur la route, outre son moteur tantôt sage tantôt rageur, la Quattroporte fait oublier ses cinq mètres de long et ses deux tonnes, tant elle est agile et agréable à conduire dès que paraissent les premiers lacets de la route. C'est ici que se manifestent les talents de ses créateurs au chapitre des suspensions et de l'équilibre général, un équilibre que favorise naturellement l'emplacement du moteur très reculé dans son compartiment. En effet, il suffit de lever le capot pour constater que le moteur se situe derrière l'axe des roues avant, une position centrale qui permet à la grande berline sport d'afficher une répartition idéale du poids : 49 % sur l'avant et 51 % sur l'arrière.
La Quattroporte ne craint pas non plus l'hiver car les garde-fous électroniques performants veillent à la sécurité des occupants, tant au freinage qu'à l'accélération et dans les virages. Précisons à ce propos que la Quattroporte vient de remporter un match organisé par le magazine Motor Trend et l'opposant à la Mercedes S550, la Jaguar Super V8 et la Lexus LS600hL. Et c'est au chapitre du freinage que l'italienne a fait preuve d'un brio exceptionnel en passant (selon Motor Trend) de 96 à 0 km/h en 32,6 mètres. Aussi bien qu'une véritable voiture sport. Elle remporte aussi le 0 à 96 km/h en 5,4 secondes. Motor Trend résume ainsi : « Aucune autre berline que nous connaissions ne réussit à animer le plaisir des sens aussi bien que la Quattroporte ».
N'ayant pas essayé les autres berlines en question, nous ne pouvons pas contredire notre homologue américain, mais nous avouons que c'est avec un pincement au coeur que nous avons remis la Maserati à son propriétaire légitime (Ferrari Maserati Québec) après ces quelques jours passés en sa gratifiante compagnie.
Design savoureux
Moteur emballant
Boîte automatique bien adaptée
Comportement routier de haut niveau
Habitacle chaleureux
Frein de stationnement automatique agaçant
Ergonomie perfectible
Différence importante entre le prix canadien et le prix américain
photo:Alain Raymond
Sur la route, outre son moteur tantôt sage tantôt rageur, la Quattroporte fait oublier ses cinq mètres de long et ses deux tonnes, tant elle est agile et agréable à conduire dès que paraissent les premiers lacets de la route. C'est ici que se manifestent les talents de ses créateurs au chapitre des suspensions et de l'équilibre général, un équilibre que favorise naturellement l'emplacement du moteur très reculé dans son compartiment. En effet, il suffit de lever le capot pour constater que le moteur se situe derrière l'axe des roues avant, une position centrale qui permet à la grande berline sport d'afficher une répartition idéale du poids : 49 % sur l'avant et 51 % sur l'arrière.
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| Son freinage hors du commun ajoute à la sécurité du véhicule. |
La Quattroporte ne craint pas non plus l'hiver car les garde-fous électroniques performants veillent à la sécurité des occupants, tant au freinage qu'à l'accélération et dans les virages. Précisons à ce propos que la Quattroporte vient de remporter un match organisé par le magazine Motor Trend et l'opposant à la Mercedes S550, la Jaguar Super V8 et la Lexus LS600hL. Et c'est au chapitre du freinage que l'italienne a fait preuve d'un brio exceptionnel en passant (selon Motor Trend) de 96 à 0 km/h en 32,6 mètres. Aussi bien qu'une véritable voiture sport. Elle remporte aussi le 0 à 96 km/h en 5,4 secondes. Motor Trend résume ainsi : « Aucune autre berline que nous connaissions ne réussit à animer le plaisir des sens aussi bien que la Quattroporte ».
N'ayant pas essayé les autres berlines en question, nous ne pouvons pas contredire notre homologue américain, mais nous avouons que c'est avec un pincement au coeur que nous avons remis la Maserati à son propriétaire légitime (Ferrari Maserati Québec) après ces quelques jours passés en sa gratifiante compagnie.
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Moteur emballant
Boîte automatique bien adaptée
Comportement routier de haut niveau
Habitacle chaleureux
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Frein de stationnement automatique agaçant
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Ergonomie perfectible
Différence importante entre le prix canadien et le prix américain
photo:Alain Raymond
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