Q: Elle a vraiment de la gueule!
R: Oui, en effet. La calandre est agressive, les lignes sont tendues et la posture est imposante. La Taurus SHO se distingue d'à peu près tous les angles. Comparée à l'ancienne génération, la nouvelle semble bénéficier de plus de retouches et de maquillage que les vedettes de l'émission «Beautés désespérées».
Q: Des défauts?
R: Le puits pour les jambes du conducteur s'avère un tantinet étroit, le couvercle du coffre ne comporte pas de poignée ni de mécanisme d'ouverture externe, tandis que le régulateur de vitesse adaptatif (avec radar) a tendance à ne pas coopérer en présence de brouillard. De plus, les phares à atténuation automatique se sont montrés inconstants lors de mon essai routier; je n'ai donc pu me fier sur eux.
Q: Combien ça coûte?
R: La Ford Taurus SHO 2010 que j'ai testée se vend à partir de 48 199 $, un prix qui n'est pas à la portée de tous. Cela dit, vous obtenez beaucoup pour votre argent en termes de performance et de technologie.
photo:Justin Pritchard
R: Oui, en effet. La calandre est agressive, les lignes sont tendues et la posture est imposante. La Taurus SHO se distingue d'à peu près tous les angles. Comparée à l'ancienne génération, la nouvelle semble bénéficier de plus de retouches et de maquillage que les vedettes de l'émission «Beautés désespérées».
La Ford Taurus SHO 2010 que j'ai testée se vend à partir de 48 199 $. |
Q: Des défauts?
R: Le puits pour les jambes du conducteur s'avère un tantinet étroit, le couvercle du coffre ne comporte pas de poignée ni de mécanisme d'ouverture externe, tandis que le régulateur de vitesse adaptatif (avec radar) a tendance à ne pas coopérer en présence de brouillard. De plus, les phares à atténuation automatique se sont montrés inconstants lors de mon essai routier; je n'ai donc pu me fier sur eux.
Q: Combien ça coûte?
R: La Ford Taurus SHO 2010 que j'ai testée se vend à partir de 48 199 $, un prix qui n'est pas à la portée de tous. Cela dit, vous obtenez beaucoup pour votre argent en termes de performance et de technologie.
photo:Justin Pritchard