UNE PREMIÈRE ANNÉE RÉUSSIE
À ses débuts sur le marché canadien, la compagnie Daewoo avait plusieurs obstacles à franchir. Non seulement elle était à peu près inconnue au Canada, mais sa gamme de modèles était identifiée par une série de noms tous plus hilarants les uns que les autres. Et lorsque les gens tentaient d'en savoir davantage, ils apprenaient que ce conglomérat était à la dérive sur le plan financier et qu'il avait produit les Pontiac Le Mans et Passeport Optima, deux citrons patentés.
Malgré ces handicaps de taille, les ventes des voitures Daewoo au Québec progressent de belle façon. Et l'un des modèles qui obtiennent la faveur des gens est la Lanos, une sous-compacte sans prétention dont le nom fait penser à quelque maladie tropicale. Mais, identification loufoque ou pas, ces succès ne sont pas le fruit du hasard.
UNE ÉLÉGANCE DISCRÈTE
Il est toujours difficile pour une compagnie de s'implanter dans un nouveau marché. Et il est encore plus ardu d'imposer une silhouette pour que les produits soient reconnus au premier coup d'oeil. L'enjeu est de taille. Si on joue d'audace, on risque de choquer et d'ostraciser la marque à tout jamais. Si les lignes sont trop sobres, l'anonymat est un sort tout aussi déplorable.
À ses débuts sur le marché canadien, la compagnie Daewoo avait plusieurs obstacles à franchir. Non seulement elle était à peu près inconnue au Canada, mais sa gamme de modèles était identifiée par une série de noms tous plus hilarants les uns que les autres. Et lorsque les gens tentaient d'en savoir davantage, ils apprenaient que ce conglomérat était à la dérive sur le plan financier et qu'il avait produit les Pontiac Le Mans et Passeport Optima, deux citrons patentés.
Malgré ces handicaps de taille, les ventes des voitures Daewoo au Québec progressent de belle façon. Et l'un des modèles qui obtiennent la faveur des gens est la Lanos, une sous-compacte sans prétention dont le nom fait penser à quelque maladie tropicale. Mais, identification loufoque ou pas, ces succès ne sont pas le fruit du hasard.
UNE ÉLÉGANCE DISCRÈTE
Il est toujours difficile pour une compagnie de s'implanter dans un nouveau marché. Et il est encore plus ardu d'imposer une silhouette pour que les produits soient reconnus au premier coup d'oeil. L'enjeu est de taille. Si on joue d'audace, on risque de choquer et d'ostraciser la marque à tout jamais. Si les lignes sont trop sobres, l'anonymat est un sort tout aussi déplorable.