Quand on compare la Lexus IS à d'autres compactes de luxe comme les Cadillac CTS, BMW Série 3, Audi A4 et Mercedes-Benz Classe C, on remarque une particularité : son prix de base est beaucoup plus bas.
Cela n'a pas toujours été le cas, cependant. Quand l'IS de seconde génération a été lancée pour le millésime 2006, elle affichait un prix de base de 36 300 $, ce qui était plus cher que les modèles de base de toutes les concurrentes qu'on vient de citer, à l'exception de la Mercedes.
Mais cette année, l'IS 250 à propulsion coûte 32 350 $, ce qui est beaucoup plus abordable pour ceux qui veulent se payer une voiture issue d'une marque de luxe.
Motorisation particulière
Le V6 de 2,5 litres de l'IS 250 développe 204 chevaux et produit un couple de 185 livres-pieds; il est jumelé à une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports. Pensez-y : il n'y a aucun autre produit Toyota ou Lexus en Amérique du Nord qui offre ce moteur; et les seuls qui ont droit à 6 engrenages dans leur boîte de vitesses, ce sont les FJ Cruiser et Tacoma. Il n'y a pas grand-chose qui soit partagé avec l'IS qui puisse faire des économies d'échelle du côté de la production.
Le groupe motopropulseur permet à la voiture d'atteindre les 100 km/h en 7,6 secondes, et la consommation de carburant n'est pas si mal, avec une moyenne de 10,3 litres aux 100 kilomètres. L'IS 250 manque un peu de punch, mais honnêtement, pour les besoins quotidiens, elle est suffisamment rapide.
L'IS est plus ou moins la voiture la plus sportive de la gamme de Lexus, mais elle ne tourne pas le dos pour autant à la qualité de roulement. La voiture est habile et inspire confiance; de plus, sa direction linéaire vous incite à prendre les courbes un peu plus vite et un peu plus vigoureusement. À 100 km/h, le petit V6 tourne à 2 600 tr/min, mais la cabine est néanmoins très silencieuse.
On peut également se procurer une IS 250 à transmission intégrale; elle coûte 6 150 $ de plus et ne vient qu'avec une boîte automatique. Par contre, avec un bon ensemble de pneus d'hiver, l'IS à propulsion est plutôt efficace durant la saison hivernale, puisque le système de contrôle de la stabilité fonctionne très bien. Il y a également un mode « neige » pour les décollages plus contrôlables sur surface glissante.
Cela n'a pas toujours été le cas, cependant. Quand l'IS de seconde génération a été lancée pour le millésime 2006, elle affichait un prix de base de 36 300 $, ce qui était plus cher que les modèles de base de toutes les concurrentes qu'on vient de citer, à l'exception de la Mercedes.
Mais cette année, l'IS 250 à propulsion coûte 32 350 $, ce qui est beaucoup plus abordable pour ceux qui veulent se payer une voiture issue d'une marque de luxe.
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| L'IS 250 permet à un plus grand nombre de gens d'accéder à une marque de luxe. |
Motorisation particulière
Le V6 de 2,5 litres de l'IS 250 développe 204 chevaux et produit un couple de 185 livres-pieds; il est jumelé à une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports. Pensez-y : il n'y a aucun autre produit Toyota ou Lexus en Amérique du Nord qui offre ce moteur; et les seuls qui ont droit à 6 engrenages dans leur boîte de vitesses, ce sont les FJ Cruiser et Tacoma. Il n'y a pas grand-chose qui soit partagé avec l'IS qui puisse faire des économies d'échelle du côté de la production.
Le groupe motopropulseur permet à la voiture d'atteindre les 100 km/h en 7,6 secondes, et la consommation de carburant n'est pas si mal, avec une moyenne de 10,3 litres aux 100 kilomètres. L'IS 250 manque un peu de punch, mais honnêtement, pour les besoins quotidiens, elle est suffisamment rapide.
L'IS est plus ou moins la voiture la plus sportive de la gamme de Lexus, mais elle ne tourne pas le dos pour autant à la qualité de roulement. La voiture est habile et inspire confiance; de plus, sa direction linéaire vous incite à prendre les courbes un peu plus vite et un peu plus vigoureusement. À 100 km/h, le petit V6 tourne à 2 600 tr/min, mais la cabine est néanmoins très silencieuse.
On peut également se procurer une IS 250 à transmission intégrale; elle coûte 6 150 $ de plus et ne vient qu'avec une boîte automatique. Par contre, avec un bon ensemble de pneus d'hiver, l'IS à propulsion est plutôt efficace durant la saison hivernale, puisque le système de contrôle de la stabilité fonctionne très bien. Il y a également un mode « neige » pour les décollages plus contrôlables sur surface glissante.
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| Le V6 de 2,5 litres de l'IS 250 développe 204 chevaux et produit un couple de 185 livres-pieds. |