LA PIERRE ANGULAIRE
Pour la première fois l'an dernier, la firme anglaise Jaguar a atteint le cap des 100 000 véhicules vendus dans le monde grâce au bon rendement de la S-Type. Avec l'arrivée sur le marché de la X-Type, Jaguar vise à vendre 200 000 véhicules par année en 2002. Jaguar veut donc passer de constructeur haut de gamme à constructeur généraliste, et le succès de la X-Type est crucial pour atteindre cet objectif.
TRACTION INTÉGRALE
Audi a été le pionnier de la traction intégrale avec son système Quattro qui a maintenant 21 ans. BMW a fait ses premiers pas dans le monde des quatre roues motrices dans les années 1980 avec la 325 iX et récidive, depuis l'an dernier, avec deux séries 3. Mercedes possède, depuis quelques années, le système 4matic. Jaguar est la dernière en lice à se lancer dans le marché du rouage intégral. Jaguar ne fait pas mystère de ses ambitions : la principale référence visée lors du développement de la X-Type était la BMW série 3, avec ses superbes qualités dynamiques. Si les ingénieurs de la marque avouent avoir soumis différentes concurrentes à une étude approfondie, leur modèle de référence, durant la phase de développement, a été la BMW 328i (la 330i n'était pas encore sur le marché).
BONNE IMPRESSION
J'avoue avoir été passablement impressionné par cette première prise de contact avec la nouvelle Jaguar. La X-Type paraît particulièrement séduisante sur le plan esthétique. Son habitacle est presque aussi vaste que celui de la S-Type 5 et le volume du coffre est le plus généreux jamais proposé par une Jaguar. L'habitacle, fort joliment présenté, paraît plus conforme à la tradition Jaguar que celui de la S-Type (qui subira bientôt quelques modifications en ce sens). Les sièges offrent un confort supérieur. L'espace intérieur, quoique pas énorme, semble suffisant, en raison de l'ambiance très british de cocooning que Jaguar a su ménager dans la X-Type. Lorsqu'il est installé, le grand écran tactile en couleur de sept pouces domine la console centrale en forme de fer à cheval, assurant la gestion des systèmes de navigation et de communication.
Pour la première fois l'an dernier, la firme anglaise Jaguar a atteint le cap des 100 000 véhicules vendus dans le monde grâce au bon rendement de la S-Type. Avec l'arrivée sur le marché de la X-Type, Jaguar vise à vendre 200 000 véhicules par année en 2002. Jaguar veut donc passer de constructeur haut de gamme à constructeur généraliste, et le succès de la X-Type est crucial pour atteindre cet objectif.
TRACTION INTÉGRALE
Audi a été le pionnier de la traction intégrale avec son système Quattro qui a maintenant 21 ans. BMW a fait ses premiers pas dans le monde des quatre roues motrices dans les années 1980 avec la 325 iX et récidive, depuis l'an dernier, avec deux séries 3. Mercedes possède, depuis quelques années, le système 4matic. Jaguar est la dernière en lice à se lancer dans le marché du rouage intégral. Jaguar ne fait pas mystère de ses ambitions : la principale référence visée lors du développement de la X-Type était la BMW série 3, avec ses superbes qualités dynamiques. Si les ingénieurs de la marque avouent avoir soumis différentes concurrentes à une étude approfondie, leur modèle de référence, durant la phase de développement, a été la BMW 328i (la 330i n'était pas encore sur le marché).
BONNE IMPRESSION
J'avoue avoir été passablement impressionné par cette première prise de contact avec la nouvelle Jaguar. La X-Type paraît particulièrement séduisante sur le plan esthétique. Son habitacle est presque aussi vaste que celui de la S-Type 5 et le volume du coffre est le plus généreux jamais proposé par une Jaguar. L'habitacle, fort joliment présenté, paraît plus conforme à la tradition Jaguar que celui de la S-Type (qui subira bientôt quelques modifications en ce sens). Les sièges offrent un confort supérieur. L'espace intérieur, quoique pas énorme, semble suffisant, en raison de l'ambiance très british de cocooning que Jaguar a su ménager dans la X-Type. Lorsqu'il est installé, le grand écran tactile en couleur de sept pouces domine la console centrale en forme de fer à cheval, assurant la gestion des systèmes de navigation et de communication.