Un moteur diesel, c'est aussi un couple hyper généreux qui autorise des sprints énergiques, dans ce cas-ci de 0 à 100 km/h en 9,0 secondes. En comparaison, le Grand Cherokee affiche un chrono de 10,4 secondes. La meilleure façon de profiter du couple avec le Touareg est de déplacer le levier en position «S» et de tenir bon. Vous pouvez certes décider de changer les vitesses vous-même, mais enchaîner les huit à la fois devient une perte de temps.
Quant au design extérieur, j'ai bien peu à redire sur le Touareg. Depuis son arrivée sur le marché en 2004, il figure parmi les utilitaires les plus attrayants, ses lignes raffinées lui donnant un air présidentiel à l'instar de ses cousins chez Porsche (Cayenne) et Audi (Q7). Notre modèle d'essai arborait une peinture appelée «Brun écossais métallisé» qui rehaussait sa prestance.
Le «Toereg» comprenait l'ensemble Sport (2525 $) incluant des jantes Pikes Peak de 20 pouces, des phares au xénon et une suspension sport. Cette dernière vient dynamiser la conduite, tandis que les éléments de style paraissent réellement incontournables. Sécuritaire et bien ancré, le véhicule se sent à l'aise sur le pavé sec comme sur la neige.
Un dernier point pour dénoncer l'absence de dispositifs d'aide au stationnement, pourtant essentiels de nos jours avec des véhicules aussi imposants. Quand on considère le prix demandé, c'est même inacceptable.
En conclusion, le Volkswagen Touareg Comfortline TDI diesel propre 2011 se veut un très bon camion tout-aller. Je le répète : le prix demeure de loin sa plus grande lacune. Le nouveau Jeep Grand Cherokee, nettement plus abordable pour un équipement comparable, connaîtra évidemment beaucoup de succès et l'intérêt des acheteurs envers le Touareg s'en trouvera réduit... à moins que vous teniez à conduire un modèle allemand.
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| Le ‘Toereg’ comprenait l'ensemble Sport (2525 $) incluant des jantes Pikes Peak de 20 pouces, des phares au xénon et une suspension sport. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Quant au design extérieur, j'ai bien peu à redire sur le Touareg. Depuis son arrivée sur le marché en 2004, il figure parmi les utilitaires les plus attrayants, ses lignes raffinées lui donnant un air présidentiel à l'instar de ses cousins chez Porsche (Cayenne) et Audi (Q7). Notre modèle d'essai arborait une peinture appelée «Brun écossais métallisé» qui rehaussait sa prestance.
Le «Toereg» comprenait l'ensemble Sport (2525 $) incluant des jantes Pikes Peak de 20 pouces, des phares au xénon et une suspension sport. Cette dernière vient dynamiser la conduite, tandis que les éléments de style paraissent réellement incontournables. Sécuritaire et bien ancré, le véhicule se sent à l'aise sur le pavé sec comme sur la neige.
Un dernier point pour dénoncer l'absence de dispositifs d'aide au stationnement, pourtant essentiels de nos jours avec des véhicules aussi imposants. Quand on considère le prix demandé, c'est même inacceptable.
En conclusion, le Volkswagen Touareg Comfortline TDI diesel propre 2011 se veut un très bon camion tout-aller. Je le répète : le prix demeure de loin sa plus grande lacune. Le nouveau Jeep Grand Cherokee, nettement plus abordable pour un équipement comparable, connaîtra évidemment beaucoup de succès et l'intérêt des acheteurs envers le Touareg s'en trouvera réduit... à moins que vous teniez à conduire un modèle allemand.
Volkswagen Jetta Comfortline 2011
Volkswagen Jetta Comfortline 2011
Volkswagen Touareg Comfortline 2011
Volkswagen Touareg Comfortline 2011
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