Du côté de l'habitacle, les changements sont tout aussi discrets. Les porte-gobelets placés au-dessus de la radio ont été déplacés dans la console centrale et les cadrans indicateurs ont été redessinés à la façon de ceux de la Passat. Le reste demeure identique avec les mêmes qualités et défauts.L'habitabilité réduite à l'arrière pour les jambes et la tête ne plaira pas aux personnes de grande taille qui se retrouveront avec les genoux dans le front. Quant à la possibilité d'asseoir trois personnes à l'arrière, oubliez ça à moins de vouloir infliger à vos passagers d'ignobles souffrances. Même si l'espace est restreint à l'arrière, celui des occupants avant est tout à fait adéquat et les multiples ajustements des sièges permettront au conducteur et au passager avant de trouver une position idéale. La qualité des matériaux utilisés, tant au niveau du tissu des sièges que des plastiques est de loin supérieure à la moyenne.
Malheureusement, les produits Volkswagen sont toujours la source de cliquetis et de bruits de caisse fort désagréables et il faudra attendre l'arrivée de la prochaine génération des Golf et Jetta pour savoir si ce problème sera définitivement réglé.
Du côté de l'équipement, la Jetta GLS TDI possède les glaces, les rétroviseurs et le verrouillage à commande électrique, le télédéverrouillage, le régulateur de vitesse, le système audio avec lecteur de cassettes et de disques compacts à 8 haut-parleurs, le volant inclinable et télescopique, les rétroviseurs, les sièges avant chauffants et le climatiseur. On peut y ajouter deux groupes d'options dont le premier comprend les jantes en alliage et le toit ouvrant. Le second reçoit quant à lui la sellerie et les garnitures de cuir ainsi que le volant multifonction.
Parmi les options individuelles, notons les sacs gonflables latéraux arrière, la stabilisation électronique, la boîte automatique à 5 rapports Tiptronic et, une nouveauté cette année, le système de télécommunication OnStar dont notre modèle d'essai était équipé.