Ce modèle, qu’on reconnaît à ses garnitures intérieures à effet chrome mat, dispose d’un système de verrouillage sans clé avec bouton de démarrage. Il procure aussi la connectivité Bluetooth avec commande vocale. Enfin, il a des roues de 16 pouces en alliage chaussées de pneus quatre saisons.
Agréable routière
Faute d’avoir une silhouette crève-coeur, la nouvelle Jetta a conservé les qualités ergonomiques associées à l’aménagement de l’habitacle de ses devancières. Toutes les commandes sont à portée de main. Pas surprenant, vu que le pan central du tableau de bord est légèrement incurvé vers le conducteur. De plus, à l’inverse de Honda, qui a surchargé le tableau de l’Accord avec trop de commutateurs, dans la Jetta, on ne trouve que le strict minimum. Et c’est tant mieux, puisque le conducteur peut consacrer toute son attention à la conduite.
La position de conduite efficace est mise en valeur également par la conception soignée des sièges baquets. D’autre part, la ligne de caisse relativement basse et les rétroviseurs, qui sont de bon format, procurent un bon champ de vision périphérique.
Le 5-cylindres, manifestement, répond bien aux sollicitations. Il autorise une accélération de 0 à 100 km/h en un peu moins de 9 secondes (le TDI fait presque aussi bien), quelle que soit la boîte de vitesses choisie : une manuelle de série à 5 rapports ou une automatique Tiptronic optionnelle, qui en a 6. Le 4-cylindres n’a pas le même lustre, lui qui requiert 2 secondes de plus environ pour atteindre 100 km/h.
Le coffre a quasiment autant de volume utile que celui des modèles 2010 (-3%) et son ouverture est large et basse, ce qui facilite l’embarquement des gros colis. En outre, la banquette arrière de toutes les Jetta 2011 a des dossiers asymétriques (60/40), qui permettent, au besoin, d’accroître la surface de chargement. Ces dossiers se rabattent à l’aide de petites manettes situées dans le coffre.
La Jetta Highline 2.5 a des roues en alliage de 16 pouces de série. (Photo: Luc Gagné/Auto123.com) |
Agréable routière
Faute d’avoir une silhouette crève-coeur, la nouvelle Jetta a conservé les qualités ergonomiques associées à l’aménagement de l’habitacle de ses devancières. Toutes les commandes sont à portée de main. Pas surprenant, vu que le pan central du tableau de bord est légèrement incurvé vers le conducteur. De plus, à l’inverse de Honda, qui a surchargé le tableau de l’Accord avec trop de commutateurs, dans la Jetta, on ne trouve que le strict minimum. Et c’est tant mieux, puisque le conducteur peut consacrer toute son attention à la conduite.
La position de conduite efficace est mise en valeur également par la conception soignée des sièges baquets. D’autre part, la ligne de caisse relativement basse et les rétroviseurs, qui sont de bon format, procurent un bon champ de vision périphérique.
Le 5-cylindres, manifestement, répond bien aux sollicitations. Il autorise une accélération de 0 à 100 km/h en un peu moins de 9 secondes (le TDI fait presque aussi bien), quelle que soit la boîte de vitesses choisie : une manuelle de série à 5 rapports ou une automatique Tiptronic optionnelle, qui en a 6. Le 4-cylindres n’a pas le même lustre, lui qui requiert 2 secondes de plus environ pour atteindre 100 km/h.
Le coffre a quasiment autant de volume utile que celui des modèles 2010 (-3%) et son ouverture est large et basse, ce qui facilite l’embarquement des gros colis. En outre, la banquette arrière de toutes les Jetta 2011 a des dossiers asymétriques (60/40), qui permettent, au besoin, d’accroître la surface de chargement. Ces dossiers se rabattent à l’aide de petites manettes situées dans le coffre.
Le coffre a une ouverture très large et plutôt basse, qui facilite le chargement des gros colis. (Photo: Luc Gagné/Auto123.com) |