Les mordus de conduite sportive, même ceux qui abhorrent tout système dépourvu d'une pédale d'embrayage, s'émerveilleront devant la rapidité d'exécution et la précision exceptionnelles de la boîte DSG, qui livre constamment le bon rapport au bon moment. Ajoutez un son d'échappement viril et bien senti de même qu'une tenue de route sensationnelle et vous obtenez une expérience des plus gratifiantes.
Un comportement routier peaufiné
La GTI de Volkswagen s'est toujours avérée un bolide sport plus que compétent. Elle n'adopte pas un profil bas et élancé, certes, mais elle sait faire preuve d'une agilité incroyable qui se traduit par une maniabilité impressionnante, surtout la plus récente édition. En même temps, elle communique clairement avec le pilote, lui procurant une véritable sensation de stabilité et de contact avec la route.
J'ai beaucoup apprécié la docilité de la GTI, qui obéit sans hésiter ni broncher aux commandes transmises par le volant. Deux mots me revenaient en tête : contrôle et calme. En fait, cette voiture semble s'adapter à la personnalité de son conducteur, elle qui demeure judicieusement civilisée dans la vie de tous les jours et devient explosive au moment opportun, c'est-à-dire dès que le besoin s'en fait sentir.
Petit bémol, cependant : la suspension penche davantage du côté de la fermeté que de la souplesse. Le roulement de la GTI n'est pas du tout sec ou éprouvant pour autant, mais les bosses se font quand même ressentir jusque dans l'habitacle et le tout devient un peu fatigant à la longue. Ceci dit, je parle au nom de ma génération grisonnante et, si c'est celle que vise la Panamera, je reconnais que la GTI s'adresse à une clientèle beaucoup plus jeune.
«La Panamera des pauvres», oui ou non?
Voilà une question rhétorique mais qui mérite tout de même d'être posée. La GTI et la Panamera sont deux voitures d'ingénierie allemande qui allient performance et fonctionnalité au quotidien. La boîte DSG de la première s'apparente étrangement à la PDK de la seconde et il existe même une version turbocompressée (haut de gamme) de cette dernière.
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| Les mordus de conduite sportive s'émerveilleront devant la rapidité d'exécution et la précision exceptionnelles de la boîte DSG. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Un comportement routier peaufiné
La GTI de Volkswagen s'est toujours avérée un bolide sport plus que compétent. Elle n'adopte pas un profil bas et élancé, certes, mais elle sait faire preuve d'une agilité incroyable qui se traduit par une maniabilité impressionnante, surtout la plus récente édition. En même temps, elle communique clairement avec le pilote, lui procurant une véritable sensation de stabilité et de contact avec la route.
J'ai beaucoup apprécié la docilité de la GTI, qui obéit sans hésiter ni broncher aux commandes transmises par le volant. Deux mots me revenaient en tête : contrôle et calme. En fait, cette voiture semble s'adapter à la personnalité de son conducteur, elle qui demeure judicieusement civilisée dans la vie de tous les jours et devient explosive au moment opportun, c'est-à-dire dès que le besoin s'en fait sentir.
Petit bémol, cependant : la suspension penche davantage du côté de la fermeté que de la souplesse. Le roulement de la GTI n'est pas du tout sec ou éprouvant pour autant, mais les bosses se font quand même ressentir jusque dans l'habitacle et le tout devient un peu fatigant à la longue. Ceci dit, je parle au nom de ma génération grisonnante et, si c'est celle que vise la Panamera, je reconnais que la GTI s'adresse à une clientèle beaucoup plus jeune.
«La Panamera des pauvres», oui ou non?
Voilà une question rhétorique mais qui mérite tout de même d'être posée. La GTI et la Panamera sont deux voitures d'ingénierie allemande qui allient performance et fonctionnalité au quotidien. La boîte DSG de la première s'apparente étrangement à la PDK de la seconde et il existe même une version turbocompressée (haut de gamme) de cette dernière.
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| La suspension penche davantage du côté de la fermeté que de la souplesse. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |