Sur l’autoroute, cette servodirection requiert toutefois de légères corrections de cap occasionnelles, un irritant associé au système d’assistance électronique qui manque de fermeté à haute vitesse. Le freinage, lui aussi, a quelque peu déçu, par son côté trop « tendre ». Il gagnerait à avoir une action plus progressive.
Beaucoup de latitude
Le point fort de cette Sienna, pour toutes les personnes qui en ont fait usage, demeure sa modularité exemplaire. Ce véhicule à sept places (l’aménagement à huit places est lié au V6) se transforme en volumineux fourgon biplace en un tournemain. D’abord, la banquette arrière à sections asymétriques (60/40) se recroqueville simplement dans une cavité, selon le principe développé par Honda pour la première Odyssey. Quant aux sièges « capitaines » (de série) de la rangée médiane, ils sont fixés à des glissières qui permettent de les déplacer longitudinalement sur 58 centimètres. On peut alors les « refermer » à la verticale, comme une huître, et les glisser tout près des sièges avant pour accroître l’espace de chargement. Pour maximiser l’espace utile, il suffit de déposer ces sièges. Mais attention! Ils sont plutôt lourds et encombrants : chacun pèse une vingtaine de kilos. C’est plus gros qu’un bébé!
L’aire de chargement très vaste qu’on découvre alors gobe un volume impressionnant de matériel. Pas surprenant puisque ces 4250 litres de volume utile font de l’aire cargo de la Sienna la plus volumineuse de sa catégorie. L’Odyssey arrive seconde à ce chapitre (4173 L), suivie de la Grand Caravan (4070 L) et de la Sedona (4007 L). Très profonde, cette aire cargo peut même gober des madriers de 2x4, longs de 8 pieds. En prime, il reste un espace libre derrière la pile de bois, près du hayon, et amplement d’espace pour charger une foule de colis tout autour – par exemple une douzaine de gros bacs contenant la nourriture d’un camp scout!
Ce modèle de base n’est pas le plus « sexy » de la gamme, c’est sûr. En le choisissant, l’acheteur doit oublier la caméra arrière (qui serait très utile), les commandes redondantes de la chaîne audio qu’on trouve sur le volant d’autres versions, ce boîtier central de rangement entre les deux sièges avant, très pratique et sur lequel on développe l’habitude de s’appuyer. Il devra aussi oublier le siège ajustable en hauteur pour le conducteur, un petit luxe si important pour des personnes « courtes sur pattes ». Des absences qui vont de pair avec un statut « bas de gamme ».
Malgré tout, cela n’a pas empêché mes collègues animateurs, même les plus jeunes, d’apprécier cette fourgonnette. Son côté éminemment pratique les a charmés au point de la baptiser « Scoutienna »!
Qu’on lui décerne donc le badge de la fourgonnette à l’honneur!
Beaucoup de latitude
Le point fort de cette Sienna, pour toutes les personnes qui en ont fait usage, demeure sa modularité exemplaire. Ce véhicule à sept places (l’aménagement à huit places est lié au V6) se transforme en volumineux fourgon biplace en un tournemain. D’abord, la banquette arrière à sections asymétriques (60/40) se recroqueville simplement dans une cavité, selon le principe développé par Honda pour la première Odyssey. Quant aux sièges « capitaines » (de série) de la rangée médiane, ils sont fixés à des glissières qui permettent de les déplacer longitudinalement sur 58 centimètres. On peut alors les « refermer » à la verticale, comme une huître, et les glisser tout près des sièges avant pour accroître l’espace de chargement. Pour maximiser l’espace utile, il suffit de déposer ces sièges. Mais attention! Ils sont plutôt lourds et encombrants : chacun pèse une vingtaine de kilos. C’est plus gros qu’un bébé!
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| Une fois la banquette arrière à sections asymétriques escamotée, on dispose d’un vaste espace de chargement. Entre les deux sièges « capitaines » de la rangée médiane, il est possible de charger des madriers de huit pieds de long. On peut aussi déposer les sièges de la rangée médiane, ce qui libère encore plus d’espace de chargement! (Photo: Luc Gagné/Auto123.com) |
L’aire de chargement très vaste qu’on découvre alors gobe un volume impressionnant de matériel. Pas surprenant puisque ces 4250 litres de volume utile font de l’aire cargo de la Sienna la plus volumineuse de sa catégorie. L’Odyssey arrive seconde à ce chapitre (4173 L), suivie de la Grand Caravan (4070 L) et de la Sedona (4007 L). Très profonde, cette aire cargo peut même gober des madriers de 2x4, longs de 8 pieds. En prime, il reste un espace libre derrière la pile de bois, près du hayon, et amplement d’espace pour charger une foule de colis tout autour – par exemple une douzaine de gros bacs contenant la nourriture d’un camp scout!
Ce modèle de base n’est pas le plus « sexy » de la gamme, c’est sûr. En le choisissant, l’acheteur doit oublier la caméra arrière (qui serait très utile), les commandes redondantes de la chaîne audio qu’on trouve sur le volant d’autres versions, ce boîtier central de rangement entre les deux sièges avant, très pratique et sur lequel on développe l’habitude de s’appuyer. Il devra aussi oublier le siège ajustable en hauteur pour le conducteur, un petit luxe si important pour des personnes « courtes sur pattes ». Des absences qui vont de pair avec un statut « bas de gamme ».
Malgré tout, cela n’a pas empêché mes collègues animateurs, même les plus jeunes, d’apprécier cette fourgonnette. Son côté éminemment pratique les a charmés au point de la baptiser « Scoutienna »!
Qu’on lui décerne donc le badge de la fourgonnette à l’honneur!
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