Les composantes de la suspension jouent un grand rôle dans le maintien de notre confort, et même si on conduit rarement ce véhicule hors route, Toyota a tout de même jugé bon de conserver une suspension à grand débattement de série. Grâce à l’articulation des roues, on avale aisément roches et courbes. De plus, lorsqu’on frappe un trou, la suspension est en mesure de l’absorber, et le Highlander ne nous ballotte pas autant que certains VUS, reposant sur une suspension type plus basse.
Un désavantage que j’ai remarqué de ce grand débattement est le comportement en virage. Plus la suspension se déplace pour maîtriser le mouvement, plus on sent le véhicule pencher lorsqu’on attaque vivement une courbe. J’ai trouvé que les bretelles d’autoroutes s’enfilaient confortablement à la vitesse limite indiquée et peut-être un peu au-delà. Mais plus vite que ça, j’avais l’impression d’être sur le point de chavirer et que les pneus s’apprêtaient à lâcher prise. Ce n’était pas le cas, car le Highlander peut avaler les courbes assez rapidement lorsqu’on le pousse, mais pas en tout confort.
Mais bon, avec trois rangées de sièges et sept éventuels passagers, on doit apprendre à bien se comporter de toute façon. Nous n’étions jamais plus que cinq dans le Highlander, alors je n’ai pas eu l’occasion d’utiliser la troisième rangée pour autre chose que des sacs d’épicerie; elle a facilement accueilli mes rations mensuelles de Costco. Pour ce qui est de la deuxième rangée, trois adultes TG y étaient un peu serrés, mais on endure pour de courts trajets. Deux à l’arrière, c’est beaucoup mieux, et ils ont effectivement trouvé que les sièges étaient confortables et spacieux, offrant beaucoup d’espace pour les jambes et les genoux.
Le Highlander peut paraître un peu gros, mais il s’avère tout de même un honnête véhicule d’assaut urbain. On est assez haut pour voir ce qui se passe et assez agile pour profiter des ouvertures dans la circulation. Il s’insère dans tous les espaces de stationnement, sauf les plus petits, et quand il y a assez de place, les portières ouvrent assez grand pour assurer un accès facile.
Et de surcroît cette année, Toyota lance une version à quatre cylindres pour compléter les modèles V6 et hybride existants. Si vous conduisez surtout à basse vitesse ou que vous n’êtes pas intéressés à boucler le 0 à 100 km/h en X secondes et ne voulez pas payer le gros prix pour l’hybride, le quatre cylindres est peut-être pour vous. Après tout, même si le prix de l’essence est bas en ce moment, il est appelé à augmenter, et augmenter encore.
photo:Charles Renny
Un désavantage que j’ai remarqué de ce grand débattement est le comportement en virage. Plus la suspension se déplace pour maîtriser le mouvement, plus on sent le véhicule pencher lorsqu’on attaque vivement une courbe. J’ai trouvé que les bretelles d’autoroutes s’enfilaient confortablement à la vitesse limite indiquée et peut-être un peu au-delà. Mais plus vite que ça, j’avais l’impression d’être sur le point de chavirer et que les pneus s’apprêtaient à lâcher prise. Ce n’était pas le cas, car le Highlander peut avaler les courbes assez rapidement lorsqu’on le pousse, mais pas en tout confort.
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| Je n’ai pas eu l’occasion d’utiliser la troisième rangée pour autre chose que des sacs d’épicerie. |
Mais bon, avec trois rangées de sièges et sept éventuels passagers, on doit apprendre à bien se comporter de toute façon. Nous n’étions jamais plus que cinq dans le Highlander, alors je n’ai pas eu l’occasion d’utiliser la troisième rangée pour autre chose que des sacs d’épicerie; elle a facilement accueilli mes rations mensuelles de Costco. Pour ce qui est de la deuxième rangée, trois adultes TG y étaient un peu serrés, mais on endure pour de courts trajets. Deux à l’arrière, c’est beaucoup mieux, et ils ont effectivement trouvé que les sièges étaient confortables et spacieux, offrant beaucoup d’espace pour les jambes et les genoux.
Le Highlander peut paraître un peu gros, mais il s’avère tout de même un honnête véhicule d’assaut urbain. On est assez haut pour voir ce qui se passe et assez agile pour profiter des ouvertures dans la circulation. Il s’insère dans tous les espaces de stationnement, sauf les plus petits, et quand il y a assez de place, les portières ouvrent assez grand pour assurer un accès facile.
Et de surcroît cette année, Toyota lance une version à quatre cylindres pour compléter les modèles V6 et hybride existants. Si vous conduisez surtout à basse vitesse ou que vous n’êtes pas intéressés à boucler le 0 à 100 km/h en X secondes et ne voulez pas payer le gros prix pour l’hybride, le quatre cylindres est peut-être pour vous. Après tout, même si le prix de l’essence est bas en ce moment, il est appelé à augmenter, et augmenter encore.
photo:Charles Renny
Toyota Highlander 4RM V6 Sport 2009
Toyota Highlander 4RM V6 Sport 2009
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