Un moteur brillant
Bien qu'un certain nombre de lacunes viennent assombrir le bilan global, l'Echo possède un atout majeur en son moteur 4 cylindres de 1,5 litre. Il est économique (7 litres aux 100 km en moyenne), peu polluant, et ses 105 chevaux se montrent bien en verve. Sa vivacité lui permet de s'entendre admirablement avec la transmission automatique que l'on retrouvait sur ma voiture d'essai.
Avec l'aide d'une direction rapide et précise, la petite Toyota Echo fait preuve en plus d'une tenue de route adéquate. La caisse accuse un certain roulis, mais l'adhérence est impressionnante. C'est en ligne droite que les choses se gâtent. Plus haute d'une dizaine de centimètres que ses rivales, l'Echo n'est pas faite pour la grande vitesse et son comportement ne le démontre que trop bien. La moindre rafale la pousse hors de sa trajectoire et elle ne fait pas très bon ménage non plus avec les inégalités du revêtement. De grâce, respectez les limites de vitesse et, à la première occasion, offrez-vous des pneus de meilleure qualité que ceux qui sont installés à l'origine. Je m'explique mal d'ailleurs que des constructeurs automobiles dépensent des sommes importantes pour mettre au point des suspensions et des châssis de plus en plus sophistiqués pour voir ensuite les efforts des ingénieurs ruinés par un département des finances qui prend la décision d'équiper la voiture de pneus bon marché. Mais, malheureusement, nous n'en sommes pas au premier illogisme dans l'industrie automobile.
Bien qu'un certain nombre de lacunes viennent assombrir le bilan global, l'Echo possède un atout majeur en son moteur 4 cylindres de 1,5 litre. Il est économique (7 litres aux 100 km en moyenne), peu polluant, et ses 105 chevaux se montrent bien en verve. Sa vivacité lui permet de s'entendre admirablement avec la transmission automatique que l'on retrouvait sur ma voiture d'essai.
Avec l'aide d'une direction rapide et précise, la petite Toyota Echo fait preuve en plus d'une tenue de route adéquate. La caisse accuse un certain roulis, mais l'adhérence est impressionnante. C'est en ligne droite que les choses se gâtent. Plus haute d'une dizaine de centimètres que ses rivales, l'Echo n'est pas faite pour la grande vitesse et son comportement ne le démontre que trop bien. La moindre rafale la pousse hors de sa trajectoire et elle ne fait pas très bon ménage non plus avec les inégalités du revêtement. De grâce, respectez les limites de vitesse et, à la première occasion, offrez-vous des pneus de meilleure qualité que ceux qui sont installés à l'origine. Je m'explique mal d'ailleurs que des constructeurs automobiles dépensent des sommes importantes pour mettre au point des suspensions et des châssis de plus en plus sophistiqués pour voir ensuite les efforts des ingénieurs ruinés par un département des finances qui prend la décision d'équiper la voiture de pneus bon marché. Mais, malheureusement, nous n'en sommes pas au premier illogisme dans l'industrie automobile.