En effet, on n’y trouve ni système d’échappement, ni bougie d’allumage, ni même d’huile qui doit être vidangée et éliminée. Le bloc de batteries, ou l’Energy Storage System (ESS), consiste en 6 381 éléments de batterie au lithium-ion et est situé devant l’essieu arrière afin d’améliorer la distribution de poids. Le coffre qui en résulte n’est pas gigantesque, mais il peut accueillir un sac de golf ou quelques sacs de voyage. On peut recharger l’ESS en six heures à l’aide d’une prise de 240 ampères. Au Québec, avec notre manne hydroélectrique, on parle de 3 ¢ par kilowattheure, alors qu’en Ontario on avoisine plutôt les 10 ¢ par kWh. Par ailleurs, l’acheteur canadien de la Tesla a la possibilité de profiter d’un crédit d’impôt de 8 500 $ sauf, étrangement, en Colombie-Britannique.
De prime abord, la nouvelle 2.5 Roadster ressemble toujours à la Lotus Elise, Lotus ayant collaboré à la création du châssis du modèle original. Mais la Roadster est plus basse et plus large, et ne partage que 6% de ses pièces avec l’Elise. Moulée entièrement en fibre de carbone, la carrosserie est extrêmement légère. Une nouvelle calandre menaçante en orne le devant, tandis qu’un nouveau becquet arrière dirige plus efficacement le flux d’air.
Mon modèle d’essai, une Sport toute garnie drapée d’une robe blanc arctique, affichait une étiquette de 175 000 $ et était doté d’un toit « targa » souple et amovible. Après avoir rangé le toit, Hans Ulsrud, le directeur régional des ventes de Tesla, m’a lancé les clés en me souhaitant une belle balade, laissant tomber au passage que je suis la première journaliste canadienne à conduire cette voiture. Bonjour la pression!
Les sièges sont d’un soutien magnifique, épousant joliment les courbes du corps, mais je ne vois toutefois pas comment les personnes costaudes y prendront place. L’habitacle lui-même est plus civilisé que celui des Elise dont j’ai fait connaissance : super bien insonorisé, beaux tapis, magnifiques garnitures en cuir, sièges chauffants et système infoloisirs Alpina comprenant un écran tactile, la navigation, une caméra de recul et des prises pour iPod.
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| Le bloc de batteries, ou l’Energy Storage System (ESS), consiste en 6 381 éléments de batterie au lithium-ion et est situé devant l’essieu arrière afin d’améliorer la distribution de poids. (Photo: Lesley Wimbush/Auto123.com) |
De prime abord, la nouvelle 2.5 Roadster ressemble toujours à la Lotus Elise, Lotus ayant collaboré à la création du châssis du modèle original. Mais la Roadster est plus basse et plus large, et ne partage que 6% de ses pièces avec l’Elise. Moulée entièrement en fibre de carbone, la carrosserie est extrêmement légère. Une nouvelle calandre menaçante en orne le devant, tandis qu’un nouveau becquet arrière dirige plus efficacement le flux d’air.
Mon modèle d’essai, une Sport toute garnie drapée d’une robe blanc arctique, affichait une étiquette de 175 000 $ et était doté d’un toit « targa » souple et amovible. Après avoir rangé le toit, Hans Ulsrud, le directeur régional des ventes de Tesla, m’a lancé les clés en me souhaitant une belle balade, laissant tomber au passage que je suis la première journaliste canadienne à conduire cette voiture. Bonjour la pression!
Les sièges sont d’un soutien magnifique, épousant joliment les courbes du corps, mais je ne vois toutefois pas comment les personnes costaudes y prendront place. L’habitacle lui-même est plus civilisé que celui des Elise dont j’ai fait connaissance : super bien insonorisé, beaux tapis, magnifiques garnitures en cuir, sièges chauffants et système infoloisirs Alpina comprenant un écran tactile, la navigation, une caméra de recul et des prises pour iPod.
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| Une console centrale en aluminium divise l’habitacle en deux, ornée de sélecteurs de rapports à bouton-poussoir illuminés. (Photo: Lesley Wimbush/Auto123.com) |