Cela dit, la partie arrière de la capote peut être relevée pour agrandir l’ouverture, ce qui facilite le chargement des gros colis. Un bon point en faveur des ingénieurs de ce cabriolet.
Deux façons pour la découvrir!
Ce cabriolet se découvre de deux façons. D’abord, à la pression d’un bouton, la capote robuste se replie vers l’arrière et découvre la surface située au-dessus des occupants, à la façon d’un toit « targa ». L’opération prend neuf secondes.
Pour accentuer le sentiment du vent dans les cheveux, on retire deux traverses de toits longitudinales, qui surmontent les portières. Puis, après les avoir rangées dans la voiture (derrière les sièges ou dans le coffre), une pression du même commutateur suffit pour replier la capote au-dessus du battant en cinq secondes additionnelles.
L’habitacle s’expose alors entièrement au ciel bleu, sacrifiant toutefois le champ de vision arrière. Cet amas de toile épais bloque le champ de vision du rétroviseur. Inutile, même, de se retourner la tête; on ne voit absolument rien! Ironique pour une si petite voiture.
Fini le diesel...
Sous le plancher du coffre loge un petit tricylindre atmosphérique de 999 cc monté transversalement. Ce moteur s’alimente d’essence régulière, non plus de diesel comme celui des modèles antérieurs. Le fabricant a voulu ménager les susceptibilités de nos voisins américains, encore peu enclins à opter pour le diesel...
Fort de ses 70 chevaux, ce petit moulin procure "assez" de puissance pour un usage citadin. Cela signifie qu'il permet à la smart d’atteindre 100 km/h en moins de 14 secondes. Cela signifie également que les banlieusards, qui transitent par les autoroutes, doivent développer leur sens de l’anticipation!
À haute vitesse, la conduite requiert beaucoup d’attention. Très sous-vireuse, cette puce est sensible aux vents latéraux et aux ornières que les poids lourds impriment sur les chaussées d’asphalte.
On a beau dire, la smart est unique, mais cette exclusivité se monnaie par divers désagréments liés à sa taille et sa conception. Plus qu’avec tout autre véhicule, mieux vaut les connaître avant de l’acheter.
photo:Philippe Champoux, Matthieu Lambert, Luc Gagné
Les automobilistes n’ont pas tous des doigts menus capables de se glisser dans le minuscule réduit où se trouve le commutateur électrique qui déclenche l’ouverture du hayon. |
Deux façons pour la découvrir!
Ce cabriolet se découvre de deux façons. D’abord, à la pression d’un bouton, la capote robuste se replie vers l’arrière et découvre la surface située au-dessus des occupants, à la façon d’un toit « targa ». L’opération prend neuf secondes.
Pour accentuer le sentiment du vent dans les cheveux, on retire deux traverses de toits longitudinales, qui surmontent les portières. Puis, après les avoir rangées dans la voiture (derrière les sièges ou dans le coffre), une pression du même commutateur suffit pour replier la capote au-dessus du battant en cinq secondes additionnelles.
L’habitacle s’expose alors entièrement au ciel bleu, sacrifiant toutefois le champ de vision arrière. Cet amas de toile épais bloque le champ de vision du rétroviseur. Inutile, même, de se retourner la tête; on ne voit absolument rien! Ironique pour une si petite voiture.
Fini le diesel...
Sous le plancher du coffre loge un petit tricylindre atmosphérique de 999 cc monté transversalement. Ce moteur s’alimente d’essence régulière, non plus de diesel comme celui des modèles antérieurs. Le fabricant a voulu ménager les susceptibilités de nos voisins américains, encore peu enclins à opter pour le diesel...
Fort de ses 70 chevaux, ce petit moulin procure "assez" de puissance pour un usage citadin. Cela signifie qu'il permet à la smart d’atteindre 100 km/h en moins de 14 secondes. Cela signifie également que les banlieusards, qui transitent par les autoroutes, doivent développer leur sens de l’anticipation!
À haute vitesse, la conduite requiert beaucoup d’attention. Très sous-vireuse, cette puce est sensible aux vents latéraux et aux ornières que les poids lourds impriment sur les chaussées d’asphalte.
On a beau dire, la smart est unique, mais cette exclusivité se monnaie par divers désagréments liés à sa taille et sa conception. Plus qu’avec tout autre véhicule, mieux vaut les connaître avant de l’acheter.
Les sièges à revêtement multicolore évoquent l’été et les promenades cheveux aux vent! |
photo:Philippe Champoux, Matthieu Lambert, Luc Gagné