Ses rivales
OK! Les fidèles de la chapelle smart voient sans doute un sacrilège dans cette comparaison. Il est vrai que bien des acheteurs de cabriolet smart auront également envisagé la MX-5, ou les cabriolets New Beetle et Cooper en guise d’alternative.
Ceux-là, d’ailleurs, auront probablement opté pour la smart afin de... paraître smart! L’effet distinctif compte pour beaucoup dans le processus de sélection des acheteurs de smart, m’ont confirmé des stratèges de la marque. Mais il y a aussi ses dimensions lilliputiennes, qui font qu’on peut la garer presque n’importe où, et qui permettent de « tourner sur un 10 cennes »! Avec une voie hyper étroite et un empattement 30% plus court que celui d’une MINI Cooper, pas surprenant que cette alsacienne soit si agile!
Un autre détail lie la smart et la MINI : le confort de roulement spartiate. En ville ou sur autoroute, c’est la même chose : la suspension ferme au débattement limité s’accommode mal des crevasses, des nids de poules (évitez les plus gros!) et de toutes autres déformations de la chaussée. Conduire une smart, c’est apprendre à se faire brasser le popotin!
En revanche, l’espace intérieur s’avère très vivable. De larges portières facilitent l’accès et l’espace intérieur convient à des personnes de 1 mètre 80. J’en atteste!
Par contre, ne maîtrise pas qui veut la boîte de vitesses automatique séquentielle. Je doute même qu’une majorité des propriétaires de smart n’arrivent un jour à passer les rapports de cette boîte de vitesses sans faire vaciller leur passager systématiquement, surtout en mode manuel!
Bagages? Pensez : bikini et brosse à dent!
Évidemment, le coffre est petit. C’est connu. On peut y déposer, côte à côte, quatre à cinq sacs de provisions. Si vous envisagez un petit voyage d’agrément, prévoyez une petite, toute petite valise, surtout si vous êtes deux à bord.
Ce coffre impose cependant d’autres irritants. D’abord, afin de pouvoir transporter de gros colis, il faut condamner le siège du passager, en rabattant son dossier vers l’avant. Il est alors possible de charger un colis volumineux comme un climatiseur ou un grand écran.
Mais encore, pour ouvrir le petit battant arrière, il faut d’abord se glisser difficilement les doigts dans le minuscule réduit, au-dessus de la plaque d’immatriculation, où se trouve le commutateur électrique qui le déverrouille. Cet aménagement bancal semble avoir été imaginé à la sauvette!
Alors, en ouvrant le battant, lorsque la capote est en place, l’ouverture qu’il découvre donne 14 centimètres de hauteur libre pour charger les bagages. C’est juste assez pour ces petites valises que les compagnies aériennes nous permettent d’apporter dans un avion.
OK! Les fidèles de la chapelle smart voient sans doute un sacrilège dans cette comparaison. Il est vrai que bien des acheteurs de cabriolet smart auront également envisagé la MX-5, ou les cabriolets New Beetle et Cooper en guise d’alternative.
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| L’intérieur est spacieux, comme en témoigne notre collègue, l’animatrice Donna Mei-Ling Park. |
Ceux-là, d’ailleurs, auront probablement opté pour la smart afin de... paraître smart! L’effet distinctif compte pour beaucoup dans le processus de sélection des acheteurs de smart, m’ont confirmé des stratèges de la marque. Mais il y a aussi ses dimensions lilliputiennes, qui font qu’on peut la garer presque n’importe où, et qui permettent de « tourner sur un 10 cennes »! Avec une voie hyper étroite et un empattement 30% plus court que celui d’une MINI Cooper, pas surprenant que cette alsacienne soit si agile!
Un autre détail lie la smart et la MINI : le confort de roulement spartiate. En ville ou sur autoroute, c’est la même chose : la suspension ferme au débattement limité s’accommode mal des crevasses, des nids de poules (évitez les plus gros!) et de toutes autres déformations de la chaussée. Conduire une smart, c’est apprendre à se faire brasser le popotin!
En revanche, l’espace intérieur s’avère très vivable. De larges portières facilitent l’accès et l’espace intérieur convient à des personnes de 1 mètre 80. J’en atteste!
Par contre, ne maîtrise pas qui veut la boîte de vitesses automatique séquentielle. Je doute même qu’une majorité des propriétaires de smart n’arrivent un jour à passer les rapports de cette boîte de vitesses sans faire vaciller leur passager systématiquement, surtout en mode manuel!
Bagages? Pensez : bikini et brosse à dent!
Évidemment, le coffre est petit. C’est connu. On peut y déposer, côte à côte, quatre à cinq sacs de provisions. Si vous envisagez un petit voyage d’agrément, prévoyez une petite, toute petite valise, surtout si vous êtes deux à bord.
Ce coffre impose cependant d’autres irritants. D’abord, afin de pouvoir transporter de gros colis, il faut condamner le siège du passager, en rabattant son dossier vers l’avant. Il est alors possible de charger un colis volumineux comme un climatiseur ou un grand écran.
Mais encore, pour ouvrir le petit battant arrière, il faut d’abord se glisser difficilement les doigts dans le minuscule réduit, au-dessus de la plaque d’immatriculation, où se trouve le commutateur électrique qui le déverrouille. Cet aménagement bancal semble avoir été imaginé à la sauvette!
Alors, en ouvrant le battant, lorsque la capote est en place, l’ouverture qu’il découvre donne 14 centimètres de hauteur libre pour charger les bagages. C’est juste assez pour ces petites valises que les compagnies aériennes nous permettent d’apporter dans un avion.
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| Le coffre convient à la vie citadine d’un individu seul : une petite commande d’épicerie peut y être chargée. Mais pour l’épicerie d’une famille de 4, prenez plutôt... la Grand Caravan! |