Concrètement, la puissance accrue et le plus grand nombre de rapports nous donnent une voiture encore plus rapide et plaisante à conduire. La Cayman le prouve de très belle façon avec un chrono de 5,7 secondes de 0 à 100 km/h. La beauté, c’est que la transmission est si efficace pour enchaîner les rapports que la voiture paraît encore plus explosive. Il y a un inconvénient, cependant : les commandes. Voyez-vous, au lieu de faire appel à de très conviviales palettes derrière le volant ou sur la colonne de direction, la compagnie y va encore avec les boutons à double usage sur le volant (on appuie pour grimper d’un rapport et on tire pour rétrograder).
Le problème avec la Porsche Cayman
Selon Porsche, ce choix s’explique par un respect de la clientèle existante. Les dirigeants ne voulaient pas courir le risque d’aliéner les loyaux disciples de Porsche qui sont depuis longtemps habitués aux commandes Tiptronic. Foutaise, je dis! La nouvelle tendance dans l’industrie -- très bientôt une référence -- est d’avoir une palette à gauche pour rétrograder et une palette à droite pour monter.
Même après trois jours dans le siège du conducteur, j’essayais encore de tirer une palette imaginaire du côté droit dans le but de passer au rapport supérieur. Évidemment, c’est le contraire qui se produisait à chaque fois.
Par ailleurs, j’ai noté que l’impulsion automatique de l’accélérateur lors des rétrogradations ne fait pas grimper suffisamment le régime du moteur dans certaines situations. J’ai donc développé l’habitude d’enfoncer moi-même la pédale des gaz afin d’assurer une meilleure correspondance entre le rapport choisi et le régime, ce qui résulte en des passages plus doux. Sinon, le groupe motopropulseur est parfait.
Une Porsche pour le train-train
La Porsche Cayman 2009 peut réellement être conduite sur une base quotidienne. Son poste de pilotage est assez accommodant pour deux adultes et les deux coffres acceptent une bonne quantité de bagages. L’assemblage et la finition impressionnent, contrairement au niveau de bruit. En effet, le moteur rugit juste derrière nous et se montre particulièrement présent en pleine accélération. Cela dit, en conduite normale, il n’est pas nécessaire de crier pour maintenir une conversation.
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| Son poste de pilotage est assez accommodant pour deux adultes et les deux coffres acceptent une bonne quantité de bagages. |
Le problème avec la Porsche Cayman
Selon Porsche, ce choix s’explique par un respect de la clientèle existante. Les dirigeants ne voulaient pas courir le risque d’aliéner les loyaux disciples de Porsche qui sont depuis longtemps habitués aux commandes Tiptronic. Foutaise, je dis! La nouvelle tendance dans l’industrie -- très bientôt une référence -- est d’avoir une palette à gauche pour rétrograder et une palette à droite pour monter.
Même après trois jours dans le siège du conducteur, j’essayais encore de tirer une palette imaginaire du côté droit dans le but de passer au rapport supérieur. Évidemment, c’est le contraire qui se produisait à chaque fois.
Par ailleurs, j’ai noté que l’impulsion automatique de l’accélérateur lors des rétrogradations ne fait pas grimper suffisamment le régime du moteur dans certaines situations. J’ai donc développé l’habitude d’enfoncer moi-même la pédale des gaz afin d’assurer une meilleure correspondance entre le rapport choisi et le régime, ce qui résulte en des passages plus doux. Sinon, le groupe motopropulseur est parfait.
Une Porsche pour le train-train
La Porsche Cayman 2009 peut réellement être conduite sur une base quotidienne. Son poste de pilotage est assez accommodant pour deux adultes et les deux coffres acceptent une bonne quantité de bagages. L’assemblage et la finition impressionnent, contrairement au niveau de bruit. En effet, le moteur rugit juste derrière nous et se montre particulièrement présent en pleine accélération. Cela dit, en conduite normale, il n’est pas nécessaire de crier pour maintenir une conversation.
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| Les deux coffres acceptent une bonne quantité de bagages. |