Les sièges sport s'avèrent parfaitement rembourrés et pas trop fermes. Leurs renforts latéraux offrent juste assez de soutien et, à la différence de certains sièges comparables, leur dossier ne serre pas trop. Ils s’ajustent manuellement vers le haut, le bas, l'avant et l'arrière. Pour profiter de réglages électriques, il faut choisir les sièges sport adaptatifs avec mémoire en option. Étant donné que certains propriétaires se serviront de la 911 Carrera GTS dans la vie de tous les jours, la compagnie propose de plus des assises chauffantes.
Aussi fabuleux que soit le cockpit, je crains de devoir critiquer Porsche pour ses mauvais porte-gobelets. Beaucoup plus de conducteurs rouleront sur la route que sur un circuit, et je sais que je ne suis pas la seule qui a vu son gros café Starbucks vaciller et couler par le bec.
Mais revenons aux choses sérieuses. Le fameux moteur à six cylindres à plat de 3,8 litres génère ici 408 chevaux, soit 23 de plus que dans la 911 Carrera S. Grâce à des modifications à la culasse et à quelques autres révisions, sa distribution de puissance s'avère idéale autant sur la route que sur la piste.
J'avais l'habitude d'être déçue quand on me remettait les clés d'un bolide de haute performance dépourvu d'une boîte de vitesses manuelle, mais la boîte PDK à double embrayage de Porsche m'a impressionnée dès le départ. Effectuant des changements de rapport en quelques millièmes de seconde, sans aucune interruption de momentum, elle permet aussi un jeu manuel sans effort par le biais du levier sur la console ou des sélecteurs au volant.
Dotée du groupe Sport Chrono Plus, la Porsche 911 Carrera GTS Cabriolet 2011 adopte des réglages de moteur et de châssis plus pointus. Il est alors possible d'accélérer de 0 à 100 km/h en 4,8 secondes (4,6 dans le cas du coupé).
Ce que j'aime le plus de la conduite sans toit, c'est de pouvoir écouter le rugissement de ce prodigieux moteur, qui respire à l'aide d'un système d'échappement sport. En appuyant sur un bouton à portée de main, le son passe de « wow » à « WOW »!
Dans des conditions plus normales, la mécanique demeure saine pour les oreilles, mais aussitôt qu'on enfonce le merveilleux bouton et qu'on conduit un peu plus agressivement, son cri devient beaucoup plus puissant et féroce. J'adore ça!
Aussi fabuleux que soit le cockpit, je crains de devoir critiquer Porsche pour ses mauvais porte-gobelets. Beaucoup plus de conducteurs rouleront sur la route que sur un circuit, et je sais que je ne suis pas la seule qui a vu son gros café Starbucks vaciller et couler par le bec.
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| Le fameux moteur à six cylindres à plat de 3,8 litres génère ici 408 chevaux, soit 23 de plus que dans la 911 Carrera S. (Photo: Porsche) |
Mais revenons aux choses sérieuses. Le fameux moteur à six cylindres à plat de 3,8 litres génère ici 408 chevaux, soit 23 de plus que dans la 911 Carrera S. Grâce à des modifications à la culasse et à quelques autres révisions, sa distribution de puissance s'avère idéale autant sur la route que sur la piste.
J'avais l'habitude d'être déçue quand on me remettait les clés d'un bolide de haute performance dépourvu d'une boîte de vitesses manuelle, mais la boîte PDK à double embrayage de Porsche m'a impressionnée dès le départ. Effectuant des changements de rapport en quelques millièmes de seconde, sans aucune interruption de momentum, elle permet aussi un jeu manuel sans effort par le biais du levier sur la console ou des sélecteurs au volant.
Dotée du groupe Sport Chrono Plus, la Porsche 911 Carrera GTS Cabriolet 2011 adopte des réglages de moteur et de châssis plus pointus. Il est alors possible d'accélérer de 0 à 100 km/h en 4,8 secondes (4,6 dans le cas du coupé).
Ce que j'aime le plus de la conduite sans toit, c'est de pouvoir écouter le rugissement de ce prodigieux moteur, qui respire à l'aide d'un système d'échappement sport. En appuyant sur un bouton à portée de main, le son passe de « wow » à « WOW »!
Dans des conditions plus normales, la mécanique demeure saine pour les oreilles, mais aussitôt qu'on enfonce le merveilleux bouton et qu'on conduit un peu plus agressivement, son cri devient beaucoup plus puissant et féroce. J'adore ça!
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| Ce que j'aime le plus de la conduite sans toit, c'est de pouvoir écouter le rugissement de ce prodigieux moteur. (Photo: Lacey Elliott/Auto123.com) |