Wow ! Une Integra d'origine !
Aucours des sept années complètes de commercialisation de la dernièreversion de l'Integra, on n'offrait qu'une seule mécanique : un4-cylindres de 1,8 litre à double arbre en tête. C'est en partie vrai.L'Integra LS de base, la GS et la SE utilisaient un moteur de 142chevaux qu'on pouvait coupler à une boîte de vitesses à 5 rapports ou àune automatique à 4 rapports. Ceux qui avançaient un peu plus d'argentpouvaient se procurer une GS-R avec un moteur V-TEC qui produisait 170chevaux et une boîte de vitesses manuelle à 5 rapports.
Quelqueschanceux ont pu mettre la main sur une Type-R et une mécanique de 195chevaux. Cette Integra ultime affichait une zone rouge entre 8200 et8900 tours/minute, selon l'année modèle, un différentiel à glissementlimité, des freins à disque plus gros, une suspension raffermie et laboîte manuelle à 5 rapports. Toutes les Integra profitaient de freins àdisque aux quatre roues et d'une suspension à quatre rouesindépendantes.
Pas mal pour son âge !
Même après six ans et100 000 kilomètres au compteur, notre Integra semble aussi solide quele jour où elle a quitté la chaîne d'assemblage. Le seul défaut quej'ai trouvé à la conduite de ce véhicule, ç'a été un manque desensations au centre de la direction; en ligne droite, la rétroactionétait vague et carencée. Mais quand on jetait le véhicule dans unecourbe, on en tirait beaucoup de plaisir; les pneus adhéraientfermement au pavé, et l'on pouvait diriger le nez de la voitureexactement où l'on voulait.
La sensation sur la pédale de frein estbonne et rassurante avec des distances d'arrêt raisonnables. Le pointfort de la conduite, à mon avis, ç'est le levier de vitesses. Sonaction est rapide et précise; il nous donne l'impression d'être auvolant d'une vraie voiture de sport.
Le moteur de 1,8 litre,qui n'est pas un V-TEC, a bien servi l'Integra. Ce n'est certainementpas le plus rapide qu'on ait connu, mais il peut permettre à la voiturede concurrencer une Toyota Celica GT, par exemple. Utilisé avec un brind'agressivité, le moteur produit suffisamment de couple pour nousdonner une conduite inspirée; si vous le tenez un peu plus longtemps etque vous montez un peu plus dans les régimes, vous obtenez plus depuissance.
Aucours des sept années complètes de commercialisation de la dernièreversion de l'Integra, on n'offrait qu'une seule mécanique : un4-cylindres de 1,8 litre à double arbre en tête. C'est en partie vrai.L'Integra LS de base, la GS et la SE utilisaient un moteur de 142chevaux qu'on pouvait coupler à une boîte de vitesses à 5 rapports ou àune automatique à 4 rapports. Ceux qui avançaient un peu plus d'argentpouvaient se procurer une GS-R avec un moteur V-TEC qui produisait 170chevaux et une boîte de vitesses manuelle à 5 rapports.
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Quelqueschanceux ont pu mettre la main sur une Type-R et une mécanique de 195chevaux. Cette Integra ultime affichait une zone rouge entre 8200 et8900 tours/minute, selon l'année modèle, un différentiel à glissementlimité, des freins à disque plus gros, une suspension raffermie et laboîte manuelle à 5 rapports. Toutes les Integra profitaient de freins àdisque aux quatre roues et d'une suspension à quatre rouesindépendantes.
Pas mal pour son âge !
Même après six ans et100 000 kilomètres au compteur, notre Integra semble aussi solide quele jour où elle a quitté la chaîne d'assemblage. Le seul défaut quej'ai trouvé à la conduite de ce véhicule, ç'a été un manque desensations au centre de la direction; en ligne droite, la rétroactionétait vague et carencée. Mais quand on jetait le véhicule dans unecourbe, on en tirait beaucoup de plaisir; les pneus adhéraientfermement au pavé, et l'on pouvait diriger le nez de la voitureexactement où l'on voulait.
La sensation sur la pédale de frein estbonne et rassurante avec des distances d'arrêt raisonnables. Le pointfort de la conduite, à mon avis, ç'est le levier de vitesses. Sonaction est rapide et précise; il nous donne l'impression d'être auvolant d'une vraie voiture de sport.
Le moteur de 1,8 litre,qui n'est pas un V-TEC, a bien servi l'Integra. Ce n'est certainementpas le plus rapide qu'on ait connu, mais il peut permettre à la voiturede concurrencer une Toyota Celica GT, par exemple. Utilisé avec un brind'agressivité, le moteur produit suffisamment de couple pour nousdonner une conduite inspirée; si vous le tenez un peu plus longtemps etque vous montez un peu plus dans les régimes, vous obtenez plus depuissance.
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