Alors que l’habitacle ne remportera jamais de prix de design, il s’avère exceptionnellement spacieux pour la catégorie. La ligne de toit élevée assure amplement de dégagement même pour les grandes échalotes, tandis que les passagers arrière jouissent d’amplement de place pour étirer leurs jambes. La palette de couleur sse révèle un peu sombre en général, mais l’aménagement, plutôt simple, fut bien pensé. Et l’énorme aire vitrée inonde l’habitacle de lumière, chassant toute morosité.
Du plastique? Oui monsieur! Mais je peux ainsi savourer mon grand café deux crèmes sans me culpabiliser, car tout dégât s’épongera facilement.
Malgré la petitesse de l’écran tactile de navigation, il se veut convivial, un avantage inattendu dans ce segment, et s’accompagne de l’interface Bluetooth, d’un volant gainé de cuir doté de commandes audio et de la radio satellite XM.
Les sièges en tissu sont fermes, mais confortables, et en rabattant la banquette arrière asymétrique, l’espace de chargement bondit de 504 à 1 427 litres. Pratiques pour transporter des casseaux de vivaces, des sacs de terre… ou un harnachement (essayez ça dans une Audi R8), ils ne se rabattent toutefois pas à plat, créant une surface utile inégale.
Mon modèle d’essai recelait le moteur de 1,8 litre plutôt que le 1,6-litre de la berline. Produisant 122 ch et 127 pi-lb de couple, la Versa peut aisément accélérer avec zèle sur l’autoroute, mais on ne ressent aucune envie de la cravacher sur les chemins de campagne pour autant.
Son partenariat avec une boîte à variation continue relève davantage de la frugalité que la passion, et même si Nissan réussit à pondre les CVT les moins embêtantes de l’industrie, elles privilégient le confort plutôt que le plaisir de conduite.
Et la Versa rime certainement avec confort. Avec sa suspension plutôt mollasse, elle tend à se canter un peu en virage si on la pousse : elle (et vous) sera plus heureuse si on ne la prend pas pour une voiture sport. Certains modèles mettent l’accent sur le voyage plutôt que la destination; d’autres, comme la Versa, s’affairent à arriver à bon port en tout confort, sans tracas.
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| Alors que l’habitacle ne remportera jamais de prix de design, il s’avère exceptionnellement spacieux pour la catégorie. (Photo: Nissan) |
Du plastique? Oui monsieur! Mais je peux ainsi savourer mon grand café deux crèmes sans me culpabiliser, car tout dégât s’épongera facilement.
Malgré la petitesse de l’écran tactile de navigation, il se veut convivial, un avantage inattendu dans ce segment, et s’accompagne de l’interface Bluetooth, d’un volant gainé de cuir doté de commandes audio et de la radio satellite XM.
Les sièges en tissu sont fermes, mais confortables, et en rabattant la banquette arrière asymétrique, l’espace de chargement bondit de 504 à 1 427 litres. Pratiques pour transporter des casseaux de vivaces, des sacs de terre… ou un harnachement (essayez ça dans une Audi R8), ils ne se rabattent toutefois pas à plat, créant une surface utile inégale.
Mon modèle d’essai recelait le moteur de 1,8 litre plutôt que le 1,6-litre de la berline. Produisant 122 ch et 127 pi-lb de couple, la Versa peut aisément accélérer avec zèle sur l’autoroute, mais on ne ressent aucune envie de la cravacher sur les chemins de campagne pour autant.
Son partenariat avec une boîte à variation continue relève davantage de la frugalité que la passion, et même si Nissan réussit à pondre les CVT les moins embêtantes de l’industrie, elles privilégient le confort plutôt que le plaisir de conduite.
Et la Versa rime certainement avec confort. Avec sa suspension plutôt mollasse, elle tend à se canter un peu en virage si on la pousse : elle (et vous) sera plus heureuse si on ne la prend pas pour une voiture sport. Certains modèles mettent l’accent sur le voyage plutôt que la destination; d’autres, comme la Versa, s’affairent à arriver à bon port en tout confort, sans tracas.
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| Mon modèle d’essai recelait le moteur de 1,8 litre plutôt que le 1,6-litre de la berline, produisant 122 ch et 127 pi-lb de couple. (Photo: Nissan) |