L'âge de la maturité
Dix-huit ans, c'est le début de l'âge adulte. C'était aussi l'âge de la Nissan Maxima lors de sa refonte, l'année dernière. Cette carrière pour le moins fructueuse se poursuit sous le signe de la maturité, car la Maxima de cinquième génération est sans l'ombre d'un doute la meilleure jamais construite.
La conception de la nouvelle Maxima fut une nouvelle fois confiée aux bureaux de Nissan Design International, sis à La Jolla, en Californie. Là même où la génération précédente avait été conçue et dessinée. Cette continuité a ses bons côtés, certes, mais aussi de moins bons, particulièrement sur le plan du style. Non pas que cette berline soit laide, loin s'en faut, mais pour l'originalité, on repassera.
S'il y a eu progrès par rapport au modèle précédent, c'est à l'intérieur. Et ce, sur tous les plans : esthétique, ergonomique et pratique. Dans une Maxima de base (GXE), ce n'était pas très jojo, côté ambiance, et les efforts pour rectifier le tir sont tangibles. Les cadrans à fond blanc (ou noir, selon qu'il fasse jour ou nuit) ne sont plus l'apanage exclusif de la version SE, et la grille de sélection de la boîte de vitesses automatique, en aluminium brossé, contribue à rehausser le tout. Comme quoi il suffit de bien peu de chose, parfois...
Dix-huit ans, c'est le début de l'âge adulte. C'était aussi l'âge de la Nissan Maxima lors de sa refonte, l'année dernière. Cette carrière pour le moins fructueuse se poursuit sous le signe de la maturité, car la Maxima de cinquième génération est sans l'ombre d'un doute la meilleure jamais construite.
La conception de la nouvelle Maxima fut une nouvelle fois confiée aux bureaux de Nissan Design International, sis à La Jolla, en Californie. Là même où la génération précédente avait été conçue et dessinée. Cette continuité a ses bons côtés, certes, mais aussi de moins bons, particulièrement sur le plan du style. Non pas que cette berline soit laide, loin s'en faut, mais pour l'originalité, on repassera.
S'il y a eu progrès par rapport au modèle précédent, c'est à l'intérieur. Et ce, sur tous les plans : esthétique, ergonomique et pratique. Dans une Maxima de base (GXE), ce n'était pas très jojo, côté ambiance, et les efforts pour rectifier le tir sont tangibles. Les cadrans à fond blanc (ou noir, selon qu'il fasse jour ou nuit) ne sont plus l'apanage exclusif de la version SE, et la grille de sélection de la boîte de vitesses automatique, en aluminium brossé, contribue à rehausser le tout. Comme quoi il suffit de bien peu de chose, parfois...