Et ils ont raison : ce petit multisegment propose une partie avant agressive avec un pif protubérant, malgré un derrière rétréci avec un porte-à-faux presque inexistant. C’est comme si Mitsubishi avait pris un Outlander et lui avait tronçonné sa partie arrière. Certains l’aiment, d’autres non.
On peut maintenant se procurer une nouvelle version de base, le RVR ES 2RM à partir de 19 998 $ avant taxes, transport et préparation. Il inclut une boîte manuelle à 5 rapports, un climatiseur, un régulateur de vitesse, des sièges avant chauffants et un télédéverrouillage. La finition SE intermédiaire ajoute des jantes en alliage, une connectivité Bluetooth, des phares antibrouillard et une finition rehaussée de l’habitacle, tandis que notre GT 4RM à l’essai coûte 28 498 $.
Alors, si le RVR est si bon que ça, pourquoi n’a-t-il pas gagné un prix de l’AJAC, ou un prix Auto123.com? Ça s’explique simplement: il y a énormément de concurrence dans la catégorie des utilitaires de multisegments de taille compacte, et on peut difficilement n’en choisir qu’un seul collectivement. De plus, certains des rivaux du RVR se montrent franchement durs à battre, comme le Kia Sportage, par exemple: il est plus spacieux, fort joli et—j’y arrive—plus puissant. Pas que ce dernier élément soit nécessaire, dois-je préciser.
Le RVR fait un travail honnête à accomplir sa tâche de transporter une petite famille. Il consomme raisonnablement, semble très habile dans la neige et offre un bon niveau d’équipement pour le prix demandé. Vous pouvez peut-être espérer plus de chevaux sous le capot, mais vous n’en avez pas toujours besoin, surtout si vos enfants vous accompagnent à bord. Si vous aimez la gueule et le gabarit du RVR, il mérite définitivement votre attention. Au diable les chroniqueurs grincheux qui le trouvent sous-motorisé.
On peut maintenant se procurer une nouvelle version de base, le RVR ES 2RM à partir de 19 998 $ avant taxes, transport et préparation. Il inclut une boîte manuelle à 5 rapports, un climatiseur, un régulateur de vitesse, des sièges avant chauffants et un télédéverrouillage. La finition SE intermédiaire ajoute des jantes en alliage, une connectivité Bluetooth, des phares antibrouillard et une finition rehaussée de l’habitacle, tandis que notre GT 4RM à l’essai coûte 28 498 $.
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| Le volume de chargement du RVR reste parmi les moins élevés dans la catégorie des VUS et multisegments compacts. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Alors, si le RVR est si bon que ça, pourquoi n’a-t-il pas gagné un prix de l’AJAC, ou un prix Auto123.com? Ça s’explique simplement: il y a énormément de concurrence dans la catégorie des utilitaires de multisegments de taille compacte, et on peut difficilement n’en choisir qu’un seul collectivement. De plus, certains des rivaux du RVR se montrent franchement durs à battre, comme le Kia Sportage, par exemple: il est plus spacieux, fort joli et—j’y arrive—plus puissant. Pas que ce dernier élément soit nécessaire, dois-je préciser.
Le RVR fait un travail honnête à accomplir sa tâche de transporter une petite famille. Il consomme raisonnablement, semble très habile dans la neige et offre un bon niveau d’équipement pour le prix demandé. Vous pouvez peut-être espérer plus de chevaux sous le capot, mais vous n’en avez pas toujours besoin, surtout si vos enfants vous accompagnent à bord. Si vous aimez la gueule et le gabarit du RVR, il mérite définitivement votre attention. Au diable les chroniqueurs grincheux qui le trouvent sous-motorisé.
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