Petite en dehors. Petite en dedans.
L’habitacle compte quatre places. Du moins, c’est la description qu’en fait le fabricant. Il suffit d’asseoir une grande personne à l’avant (de grâce, pas à l’arrière!) pour que la place juste derrière elle soit condamnée, ou presque. Parlons donc plutôt d’une « 2+2 ». En revanche, les sièges baquets sont dignes d’une sportive bâtie pour avaler efficacement les petits chemins sinueux.
Le tableau de bord affiche un design rétro réussi. N’empêche qu’on doit absolument apprendre à identifier chaque commutateur (ils sont nombreux) et à comprendre leurs fonctions. Des formes inhabituelles et des emplacements parfois loufoques peuvent surprendre le conducteur, surtout le soir.
On accède au coffre en soulevant un petit hayon monopièce (que nous n’avons jamais pu ouvrir autrement qu’avec la télécommande de la clé...). Lorsque les dossiers symétriques de la banquette arrière sont en place, la capacité de chargement reste minimaliste. Il convient tout juste à trois ou quatre sacs d’épicerie – et pas des gros. Son volume utile est inférieur à celui du coffre d’une... smart fortwo, une puce plus courte d’un mètre! Une fois les deux dossiers rabattus, par contre, on dispose du double du coffre de la smart. Mais ces 680 litres ne représentent que la moitié du coffre d’une VW GTI...
Mais, achète-t-on une Cooper S pour faire des déménagements? J’en doute. C’est plutôt parce qu’elle se « déménage » prestement qu’on la choisit! Le 4-cylindres turbo de cette petite sportive développe 181 chevaux, soit 9 de plus que son équivalent de 2010. On parle aussi de 60 chevaux de plus que le moteur atmosphérique des Cooper « sans S ».
Ce petit moulin suralimenté propulse cette puce ultralégère de 0 à 100 en 7 courtes secondes, qui sont linéaires lorsque le régime du moteur dépasse 1500 tours. Car avant, le moteur paraît éteint. Cette puissance, qui ne se montre pas foudroyante pour le conducteur, convient parfaitement à une conduite sportive grâce à la grande maniabilité dont la MINI Cooper S peut faire preuve.
L’habitacle compte quatre places. Du moins, c’est la description qu’en fait le fabricant. Il suffit d’asseoir une grande personne à l’avant (de grâce, pas à l’arrière!) pour que la place juste derrière elle soit condamnée, ou presque. Parlons donc plutôt d’une « 2+2 ». En revanche, les sièges baquets sont dignes d’une sportive bâtie pour avaler efficacement les petits chemins sinueux.
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| Le conducteur dispose d’un compte-tours circulaire derrière le volant, au centre duquel se trouve un tout petit indicateur numérique de vitesse. Comme si ce n’était pas assez, le cadran surdimensionné qui trône au centre du tableau de bord comporte également un indicateur de vitesse, mais analogique. Bref, vous avez le choix! (Photo: Luc Gagné/Auto123.com) |
Le tableau de bord affiche un design rétro réussi. N’empêche qu’on doit absolument apprendre à identifier chaque commutateur (ils sont nombreux) et à comprendre leurs fonctions. Des formes inhabituelles et des emplacements parfois loufoques peuvent surprendre le conducteur, surtout le soir.
On accède au coffre en soulevant un petit hayon monopièce (que nous n’avons jamais pu ouvrir autrement qu’avec la télécommande de la clé...). Lorsque les dossiers symétriques de la banquette arrière sont en place, la capacité de chargement reste minimaliste. Il convient tout juste à trois ou quatre sacs d’épicerie – et pas des gros. Son volume utile est inférieur à celui du coffre d’une... smart fortwo, une puce plus courte d’un mètre! Une fois les deux dossiers rabattus, par contre, on dispose du double du coffre de la smart. Mais ces 680 litres ne représentent que la moitié du coffre d’une VW GTI...
Mais, achète-t-on une Cooper S pour faire des déménagements? J’en doute. C’est plutôt parce qu’elle se « déménage » prestement qu’on la choisit! Le 4-cylindres turbo de cette petite sportive développe 181 chevaux, soit 9 de plus que son équivalent de 2010. On parle aussi de 60 chevaux de plus que le moteur atmosphérique des Cooper « sans S ».
Ce petit moulin suralimenté propulse cette puce ultralégère de 0 à 100 en 7 courtes secondes, qui sont linéaires lorsque le régime du moteur dépasse 1500 tours. Car avant, le moteur paraît éteint. Cette puissance, qui ne se montre pas foudroyante pour le conducteur, convient parfaitement à une conduite sportive grâce à la grande maniabilité dont la MINI Cooper S peut faire preuve.
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| La boîte de vitesses manuelle est bien étagée et son maniement est précis. Cependant, la renverse peut s’enclencher facilement par mégarde. (Photo: Luc Gagné/Auto123.com) |