ENFIN, UN VRAI MOTEUR
Depuis sa sortie en 1997, on ne pouvait adresser qu'un seul reproche au superbe roadster/coupé SLK de Mercedes-Benz. Mais il était de taille ! Gratifié d'un impressionnant toit rigide rétractable aux évolutions parfaitement orchestrées et d'une qualité d'assemblage garantie par l'étoile à trois pointes qui siège au milieu de sa calandre, ce modèle était lourdement handicapé par un moteur indigne de son statut.
Pour 2001, on a corrigé le tir avec l'implantation sous le capot de la SLK d'un V6 3,2 litres de 215 chevaux. Ce n'est guère plus que les 190 chevaux de la version revue et corrigée du 4 cylindres à compresseur de 2,3 litres qui reste au catalogue mais, tant par son couple abondant que par sa sonorité, le V6 fait toute la différence.
La SLK ne devient pas pour autant une voiture sport dans le sens le plus pointu du terme et ce n'est d'ailleurs pas le but visé par les gens de Mercedes-Benz. Ce rôle incombra plutôt à la version AMG de la SLK, la 32, qui sortira en cours d'année.
Depuis sa sortie en 1997, on ne pouvait adresser qu'un seul reproche au superbe roadster/coupé SLK de Mercedes-Benz. Mais il était de taille ! Gratifié d'un impressionnant toit rigide rétractable aux évolutions parfaitement orchestrées et d'une qualité d'assemblage garantie par l'étoile à trois pointes qui siège au milieu de sa calandre, ce modèle était lourdement handicapé par un moteur indigne de son statut.
Pour 2001, on a corrigé le tir avec l'implantation sous le capot de la SLK d'un V6 3,2 litres de 215 chevaux. Ce n'est guère plus que les 190 chevaux de la version revue et corrigée du 4 cylindres à compresseur de 2,3 litres qui reste au catalogue mais, tant par son couple abondant que par sa sonorité, le V6 fait toute la différence.
La SLK ne devient pas pour autant une voiture sport dans le sens le plus pointu du terme et ce n'est d'ailleurs pas le but visé par les gens de Mercedes-Benz. Ce rôle incombra plutôt à la version AMG de la SLK, la 32, qui sortira en cours d'année.