Un écran intégré à côté de l’indicateur de vitesse vous attribue des feuilles et des fleurs afin de vous encourager à brûler le moins d’essence possible. Conduisez sagement et l’arbre fleurit, écrasez la pédale et les feuilles tombent. Un arbre sans ses feuilles n’est pas beau à voir.
Même si la disparition des feuilles suscite la culpabilité, le raffinement d’exécution et la qualité de l’expérience de conduite de la MKZ hybride éteignent ce sentiment en créant une oasis de tranquillité.
Une dynamique silencieuse et tout en douceur
La MKZ Hybride est une voiture incroyablement silencieuse… et j’avoue adorer la sérénité qu’on y ressent. Ce silence nous permet de savourer d’autant plus chaque nuance musicale de la chaîne ambiophonique THX II de Lincoln.
S’il y a une ombre au tableau, c’est l’indiscrétion occasionnelle du quatre-cylindres en ligne, dont la présence se fait sentir en accélération soutenue. Bien qu’évidente, la trame sonore du moulin s’avère raffinée et bien gérée la plupart du temps. Même que, sous un pied détendu, on remarque à peine le moteur.
Autre chose qu’on remarque à peine : les bosses et grincements typiques sur nos rues urbaines en décomposition. La MKZ Hybride préfère prendre soin de ses passagers plutôt que de les transporter à toute allure. On a droit à une expérience étonnamment fluide et assez bien maîtrisée, et c’est là le point fort de ce véhicule… pas sa tenue de route.
Elle s’avère un peu moins inspirante en dépassement également. Avec une cavalerie de 191 chevaux, ne vous attendez pas à ce que la MKZ Hybride éclipse les autres berlines intermédiaires de luxe. Ah, mais vous dépasserez les diverses Européennes, Japonaises et Américaines arrêtées à la pompe!
La MKZ Hybride se vante de pouvoir parcourir 1 200 km en ville sur un seul plein. À moins de disposer d’un réservoir de la taille d’une piscine olympique, on parle d’un chiffre assez extraordinaire.
Le mot de la fin
L’idée de conduire une MKZ Hybride ne me disait rien au début, surtout que je revenais d’une semaine ensoleillée passée au volant d’une Mustang GT décapotable. Mais des fois, nos attentes sont surpassées de façon inattendue. Comme ici.
 |
| Un écran intégré à côté de l’indicateur de vitesse vous attribue des feuilles et des fleurs afin de vous encourager à brûler le moins d’essence possible. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Même si la disparition des feuilles suscite la culpabilité, le raffinement d’exécution et la qualité de l’expérience de conduite de la MKZ hybride éteignent ce sentiment en créant une oasis de tranquillité.
Une dynamique silencieuse et tout en douceur
La MKZ Hybride est une voiture incroyablement silencieuse… et j’avoue adorer la sérénité qu’on y ressent. Ce silence nous permet de savourer d’autant plus chaque nuance musicale de la chaîne ambiophonique THX II de Lincoln.
S’il y a une ombre au tableau, c’est l’indiscrétion occasionnelle du quatre-cylindres en ligne, dont la présence se fait sentir en accélération soutenue. Bien qu’évidente, la trame sonore du moulin s’avère raffinée et bien gérée la plupart du temps. Même que, sous un pied détendu, on remarque à peine le moteur.
Autre chose qu’on remarque à peine : les bosses et grincements typiques sur nos rues urbaines en décomposition. La MKZ Hybride préfère prendre soin de ses passagers plutôt que de les transporter à toute allure. On a droit à une expérience étonnamment fluide et assez bien maîtrisée, et c’est là le point fort de ce véhicule… pas sa tenue de route.
Elle s’avère un peu moins inspirante en dépassement également. Avec une cavalerie de 191 chevaux, ne vous attendez pas à ce que la MKZ Hybride éclipse les autres berlines intermédiaires de luxe. Ah, mais vous dépasserez les diverses Européennes, Japonaises et Américaines arrêtées à la pompe!
La MKZ Hybride se vante de pouvoir parcourir 1 200 km en ville sur un seul plein. À moins de disposer d’un réservoir de la taille d’une piscine olympique, on parle d’un chiffre assez extraordinaire.
Le mot de la fin
L’idée de conduire une MKZ Hybride ne me disait rien au début, surtout que je revenais d’une semaine ensoleillée passée au volant d’une Mustang GT décapotable. Mais des fois, nos attentes sont surpassées de façon inattendue. Comme ici.
 |
| Autre chose qu’on remarque à peine : les bosses et grincements typiques sur nos rues urbaines en décomposition. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |