Le moteur de la IS F 2008 est dérivé du V8 de 4,6 litres qui alimente la berline porte-étendard LS. Malgré l'accroissement de la cylindrée, l'incroyable fluidité propre aux mécaniques Lexus peut être appréciée dans la majorité des situations.
Quel bijou, ce moteur! Même si sa puissance est livrée tout en douceur, on sait par le son d'échappement que cette voiture peut exploser à n'importe quel moment. Le V8 de Lexus ne raffole pas autant des hauts régimes que celui de la M3 ou de la RS4, ce qui m'amène à considérer la IS F davantage comme une Harley qu'une moto de pointe.
La vitesse
En pleine accélération, la boîte automatique enchaîne les rapports sans la moindre saccade et à une vitesse presque digne d'une transmission à double embrayage. En mode manuel, un signal sonore nous avertit qu'il est temps de changer de rapport à l'aide des palettes au volant. Atteignez le seuil de régime critique en première vitesse puis engagez rapidement la seconde; les roues arrière de la IS F feront alors entendre un délicieux crissement.
Le moteur exige de l'essence super dans une proportion d'environ 11,5 litres aux 100 kilomètres en conduite normale. (Encore une fois, il est difficile de résister au chant mécanique de la voiture.) Même si les accélérations sont prodigieuses -- j'ai franchi le quart de mille en un peu plus de 13 secondes -- la Lexus IS F n'est pas la plus rapide de sa catégorie. Ceci dit, elle a beaucoup plus de force que ce que requière un conducteur de berline sur les routes publiques. C'en est presque indécent.
En piste... ou sur la route
Si le son et les poussées de la IS F sont contraires à ce que nous avait habitués la compagnie, le roulement surprend tout autant. Avec sa suspension haute performance conçue pour la piste, ce bolide terrorise les courbes mais aussi, comme je m'en suis rendu compte, la colonne vertébrale. Bien sûr, les ingénieurs de Lexus n'ont pas relégué aux oubliettes toute forme de souplesse, mais je vous garantis que certains conducteurs ressentiront un net inconfort sur les routes de moins belle qualité.
Quel bijou, ce moteur! Même si sa puissance est livrée tout en douceur, on sait par le son d'échappement que cette voiture peut exploser à n'importe quel moment. Le V8 de Lexus ne raffole pas autant des hauts régimes que celui de la M3 ou de la RS4, ce qui m'amène à considérer la IS F davantage comme une Harley qu'une moto de pointe.
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| Avec sa suspension haute performance conçue pour la piste, ce bolide terrorise les courbes. |
La vitesse
En pleine accélération, la boîte automatique enchaîne les rapports sans la moindre saccade et à une vitesse presque digne d'une transmission à double embrayage. En mode manuel, un signal sonore nous avertit qu'il est temps de changer de rapport à l'aide des palettes au volant. Atteignez le seuil de régime critique en première vitesse puis engagez rapidement la seconde; les roues arrière de la IS F feront alors entendre un délicieux crissement.
Le moteur exige de l'essence super dans une proportion d'environ 11,5 litres aux 100 kilomètres en conduite normale. (Encore une fois, il est difficile de résister au chant mécanique de la voiture.) Même si les accélérations sont prodigieuses -- j'ai franchi le quart de mille en un peu plus de 13 secondes -- la Lexus IS F n'est pas la plus rapide de sa catégorie. Ceci dit, elle a beaucoup plus de force que ce que requière un conducteur de berline sur les routes publiques. C'en est presque indécent.
En piste... ou sur la route
Si le son et les poussées de la IS F sont contraires à ce que nous avait habitués la compagnie, le roulement surprend tout autant. Avec sa suspension haute performance conçue pour la piste, ce bolide terrorise les courbes mais aussi, comme je m'en suis rendu compte, la colonne vertébrale. Bien sûr, les ingénieurs de Lexus n'ont pas relégué aux oubliettes toute forme de souplesse, mais je vous garantis que certains conducteurs ressentiront un net inconfort sur les routes de moins belle qualité.
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| En mode manuel, un signal sonore nous avertit qu'il est temps de changer de rapport. |