Lexus a toujours été reconnue pour ses habitacles bien construits et sophistiqués, mais celui de la GS impressionne encore plus que les autres. De douillets sièges en cuir à 18 réglages offrent un confort inouï pour les longs trajets et leur soutien réglable invite à la conduite sportive. Les passagers arrière ne sont pas laissés pour compte non plus, profitant de beaucoup d’espace pour les jambes, de sièges chauffants et de commandes de CVCA. Un énorme écran divisé de 12,3 pouces domine le bloc d’instruments, affichant les données des systèmes de navigation, de divertissement et même de vision nocturne à infrarouge « Night View ».
Le nouveau dispositif de détection de la fatigue est tout aussi impressionnant, mais légèrement déconcertant, une caméra infrarouge intégrée à la colonne de direction émet un avertissement sonore lorsqu’il décèle des signes de distraction chez le conducteur. Comme on s’y attendait, le niveau d’insonorisation rappelle une chambre forte et les portières se ferment avec un bruit sourd autoritaire.
Même si la GS se décline en trois modèles, soit la GS 350 à propulsion (51 900 $), la GS 350 à TI (54 900 $) et la GS 450h hybride haut de gamme (64 650 $), Lexus propose un nombre étourdissant de groupes d’options qui font rapidement grimper le prix de vente. On parle des ensembles Navigation à 1900 $, de Luxe à 5850 $ (qui comprend la Navigation), Technologie à 8850 $ (Navigation et de Luxe), Technologie Plus à 13 950 $ (Navigation, de Luxe et Technologie) et enfin F-Sport à 4800 $ (Navigation).
Le constructeur a laissé tomber le V8 et tous les modèles héritent désormais d’un V6 de 3,5 litres. Dans la GS 350, le moteur de 306 ch et 277 pi-lb fait équipe avec une boîte automatique à six rapports, alors que la GS 450h hybride profite d’un six-cylindres à cycle d’Atkinson retravaillé qui produit 286 ch et 254 pi-lb et s’associe à une boîte à variation continue ECVT. Grâce au moteur électrique de 180 ch, son rendement total atteint 343 ch.
La carrosserie sculptée est formée à partir d’acier à haute résistance lui procurant une rigidité accrue, mais la suspension représente la plus grande nouveauté. À Laguna Seca, Lexus nous a encouragés à comparer la GS aux Mercedes-Benz Classe E et BMW Série 5. La berline s’est étonnamment bien débrouillée, coupant l’herbe sous les pieds de la Mercedes et tenant tête à la sportive B-M.
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| Lexus a toujours été reconnue pour ses habitacles bien construits et sophistiqués. (Photo: Lesley Wimbush/Auto123.com) |
Le nouveau dispositif de détection de la fatigue est tout aussi impressionnant, mais légèrement déconcertant, une caméra infrarouge intégrée à la colonne de direction émet un avertissement sonore lorsqu’il décèle des signes de distraction chez le conducteur. Comme on s’y attendait, le niveau d’insonorisation rappelle une chambre forte et les portières se ferment avec un bruit sourd autoritaire.
Même si la GS se décline en trois modèles, soit la GS 350 à propulsion (51 900 $), la GS 350 à TI (54 900 $) et la GS 450h hybride haut de gamme (64 650 $), Lexus propose un nombre étourdissant de groupes d’options qui font rapidement grimper le prix de vente. On parle des ensembles Navigation à 1900 $, de Luxe à 5850 $ (qui comprend la Navigation), Technologie à 8850 $ (Navigation et de Luxe), Technologie Plus à 13 950 $ (Navigation, de Luxe et Technologie) et enfin F-Sport à 4800 $ (Navigation).
Le constructeur a laissé tomber le V8 et tous les modèles héritent désormais d’un V6 de 3,5 litres. Dans la GS 350, le moteur de 306 ch et 277 pi-lb fait équipe avec une boîte automatique à six rapports, alors que la GS 450h hybride profite d’un six-cylindres à cycle d’Atkinson retravaillé qui produit 286 ch et 254 pi-lb et s’associe à une boîte à variation continue ECVT. Grâce au moteur électrique de 180 ch, son rendement total atteint 343 ch.
La carrosserie sculptée est formée à partir d’acier à haute résistance lui procurant une rigidité accrue, mais la suspension représente la plus grande nouveauté. À Laguna Seca, Lexus nous a encouragés à comparer la GS aux Mercedes-Benz Classe E et BMW Série 5. La berline s’est étonnamment bien débrouillée, coupant l’herbe sous les pieds de la Mercedes et tenant tête à la sportive B-M.
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| La carrosserie sculptée est formée à partir d’acier à haute résistance lui procurant une rigidité accrue. (Photo: Lesley Wimbush/Auto123.com) |