Pour le Liberty, la suspension avant est indépendante. Les ingénieurs ont dessiné une unité à liens asymétriques dont les bras triangulés ont toute la force nécessaire pour résister aux mauvais traitements en conduite hors-route. À l'arrière, par contre, on retrouve une version modifiée de l'essieu rigide du Grand Cherokee. Ses ressorts hélicoïdaux assurent un débattement de plusieurs centimètres, ce qui représente un atout intéressant pour le confort sur route et la traction en terrain accidenté. Et, pour la première fois, un Jeep a une direction à crémaillère. Deux moteurs sont offerts. Le quatre cylindres de 2,4 litres, d'une puissance de 150 chevaux, est celui du modèle sport, le même qui équipe la PT Cruiser. L'autre, c'est le nouveau V6 PowerTech de 3,7 litres, qui équipe le Limited. Dérivé du V8 de 4,7 litres du Grand Cherokee, il produit 210 chevaux, même avec deux cylindres en moins. Dans les deux cas, la boîte manuelle à cinq rapports est de série, tandis que l'automatique à qquatre rapports est optionnelle. La tradition est toutefois respectée avec les systèmes à quatre roues motrices. Jeep propose le Command-Trac, un système « sur demande », et le rouage intégral Selec-Trac. Par ailleurs, le Liberty utilise une carrosserie monocoque renforcée de longerons.
Belle surprise !
Le Liberty a une apparence très moderne. Son avant arrondi est inspiré du prototype Jeepster de 1997 tandis que sa partie arrière, plus carrée, est dérivée du Dakar, un autre véhicule concept présenté une année auparavant.
Belle surprise !
Le Liberty a une apparence très moderne. Son avant arrondi est inspiré du prototype Jeepster de 1997 tandis que sa partie arrière, plus carrée, est dérivée du Dakar, un autre véhicule concept présenté une année auparavant.