Toute cette activité peut être observée à bord, comme dans une Toyota Prius, sur un petit écran qui affiche des graphiques illustrant les échanges d'énergie.
L'efficacité dépend du conducteur.
Pour tirer le maximum de ce système, il demeure que le comportement du conducteur constitue un facteur déterminant. Par exemple, il est possible de faire rouler le véhicule uniquement sur le mode électrique. Mais pour ce faire, on doit accélérer très LEN-TE-MENT ! La moindre variation dans la pression exercée sur la pédale de l'accélérateur, la moindre variation de l'inclinaison du sol, le plus petit changement peut suffire à enclencher le moteur thermique. Alors, finie l'accélération « propre », à 100 % électrique. Mais encore, quand on arrive à maîtriser cette accélération à 100 % électrique, on découvre que, dès qu'on atteint 25 km/h environ, invariablement le moteur thermique démarre.
Alors, dans quelles circonstances roulera-t-on uniquement sur le mode électrique ? Dans un trafic très dense ? Peut-être, mais avec 332 chevaux sous le pied, il est ardu de jouer à la tortue, même dans une artère urbaine encombrée. La taille imposante du Yukon, ne serait-ce que cela, n'inspire pas une conduite réservée de la sorte. De plus, le flot de circulation impose souvent des reprises relativement rapides. Dans pareils cas, des accélérations ultra lentes ne font qu'irriter les automobilistes qui vous entourent. Elles deviennent presque indues !
Il n'empêche que nos essais ont mis en évidence l'efficacité relative de cette motorisation hybride. Après avoir parcouru près de 500 kilomètres en ville, en campagne et en montagne, en ayant pris soin d'utiliser le régulateur de vitesse le plus souvent possible, nous avons obtenu une consommation moyenne de 13 litres aux 100 kilomètres. Avec un Volkswagen Tiguan 2.0T, nous avions obtenu 13,5 litres aux 100 kilomètres et avec un Buick Enclave, 14,5 litres aux 100 kilomètres !
Beaucoup et... peu de place !
Le Yukon à empattement court reste un véhicule de conception paradoxale à un autre point de vue. Bien qu'il soit conçu pour transporter huit passagers, le confort n'est pas nécessairement au rendez-vous à toutes les places. La banquette arrière ne convient qu'à de très petits enfants, en raison de son dégagement minimaliste à la hauteur des pieds et des jambes, mais également à cause d'un accès difficile.
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| Écran de visualisation des échanges d'énergie pour le système hybride. |
L'efficacité dépend du conducteur.
Pour tirer le maximum de ce système, il demeure que le comportement du conducteur constitue un facteur déterminant. Par exemple, il est possible de faire rouler le véhicule uniquement sur le mode électrique. Mais pour ce faire, on doit accélérer très LEN-TE-MENT ! La moindre variation dans la pression exercée sur la pédale de l'accélérateur, la moindre variation de l'inclinaison du sol, le plus petit changement peut suffire à enclencher le moteur thermique. Alors, finie l'accélération « propre », à 100 % électrique. Mais encore, quand on arrive à maîtriser cette accélération à 100 % électrique, on découvre que, dès qu'on atteint 25 km/h environ, invariablement le moteur thermique démarre.
Alors, dans quelles circonstances roulera-t-on uniquement sur le mode électrique ? Dans un trafic très dense ? Peut-être, mais avec 332 chevaux sous le pied, il est ardu de jouer à la tortue, même dans une artère urbaine encombrée. La taille imposante du Yukon, ne serait-ce que cela, n'inspire pas une conduite réservée de la sorte. De plus, le flot de circulation impose souvent des reprises relativement rapides. Dans pareils cas, des accélérations ultra lentes ne font qu'irriter les automobilistes qui vous entourent. Elles deviennent presque indues !
Il n'empêche que nos essais ont mis en évidence l'efficacité relative de cette motorisation hybride. Après avoir parcouru près de 500 kilomètres en ville, en campagne et en montagne, en ayant pris soin d'utiliser le régulateur de vitesse le plus souvent possible, nous avons obtenu une consommation moyenne de 13 litres aux 100 kilomètres. Avec un Volkswagen Tiguan 2.0T, nous avions obtenu 13,5 litres aux 100 kilomètres et avec un Buick Enclave, 14,5 litres aux 100 kilomètres !
Beaucoup et... peu de place !
Le Yukon à empattement court reste un véhicule de conception paradoxale à un autre point de vue. Bien qu'il soit conçu pour transporter huit passagers, le confort n'est pas nécessairement au rendez-vous à toutes les places. La banquette arrière ne convient qu'à de très petits enfants, en raison de son dégagement minimaliste à la hauteur des pieds et des jambes, mais également à cause d'un accès difficile.
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| Les sièges avant sont amples, mais ils ne procurent pas un support latéral adéquat. |