Mécanique
Pour 2005, la principale attraction de la Focus est sans contredit ses composantes mécaniques. À l'exception de la berline ZX4 ST, tous les modèles héritent du moteur 4 cylindres de 2,0 litres qui prend place sous le capot des Mazda 3 GX et GS. D'une puissance de 136 chevaux, ce moteur offre un excellent rendement grâce à sa souplesse, sa plage de puissance bien répartie et ses performances convenables.
Dans le cas de la berline ST, on a droit au moteur de la Mazda 3 GT, soit un 4 cylindres de 2,3 litres, offrant une puissance de 151 chevaux et un couple de 154 lb/pi. Contrairement à plusieurs moteurs de ce type, il offre un couple intéressant à bas régime, qui permet des accélérations franches dès le départ. Évidemment plus performant que celui des autres versions, il franchit le 0-100 km/h en 8,6 secondes, pour atteindre 205 km/h en vitesse de pointe. La beauté de ce moteur repose donc sur sa puissance mais aussi sur sa grande souplesse, qui amplifient l'agrément de conduite. J'irais même jusqu'à dire qu'il est aussi agréable que celui de la version SVT 2004, dont la puissance est de 170 chevaux. Côté consommation, on a obtenu une cote moyenne de 9,7 litres aux 100 kilomètres, et ce malgré une conduite parfois délinquante.
Comme il se doit, la Focus est offerte de série avec une boîte manuelle à 5 rapports, dont l'étagement est exemplaire. Le levier de vitesses est précis et le passage des rapports se fait facilement. Évidemment, une boîte automatique à 4 rapports est offerte contre supplément, sauf sur le modèle ST, qui se veut la version sportive du lot.
Comportement
Après seulement quelques kilomètres de parcouru, le conducteur appréciera le caractère européen de la voiture. Son comportement routier général surpasse celui de la majorité des asiatiques comparables, comme la Nissan Sentra ou la Honda Civic, et se trouve à des années-lumière en avance sur celui d'un Chevrolet Cavalier. Pourvue d'un bon châssis, la voiture se refuse tout bruit de caisse et grincement quelconque. La suspension, indépendante aux quatre roues, allie confort et fermeté, tout en absorbant avec aisance les imperfections de la route. Même si la voiture présente un certain roulis en virage, sa stabilité étonne. Les plus téméraires remarqueront cependant que la voiture a parfois tendance à vouloir survirer, ce qui signifie que le train arrière pourrait vouloir passer devant, si la courbe était négociée avec trop d'ardeur.
Pour 2005, la principale attraction de la Focus est sans contredit ses composantes mécaniques. À l'exception de la berline ZX4 ST, tous les modèles héritent du moteur 4 cylindres de 2,0 litres qui prend place sous le capot des Mazda 3 GX et GS. D'une puissance de 136 chevaux, ce moteur offre un excellent rendement grâce à sa souplesse, sa plage de puissance bien répartie et ses performances convenables.
Dans le cas de la berline ST, on a droit au moteur de la Mazda 3 GT, soit un 4 cylindres de 2,3 litres, offrant une puissance de 151 chevaux et un couple de 154 lb/pi. Contrairement à plusieurs moteurs de ce type, il offre un couple intéressant à bas régime, qui permet des accélérations franches dès le départ. Évidemment plus performant que celui des autres versions, il franchit le 0-100 km/h en 8,6 secondes, pour atteindre 205 km/h en vitesse de pointe. La beauté de ce moteur repose donc sur sa puissance mais aussi sur sa grande souplesse, qui amplifient l'agrément de conduite. J'irais même jusqu'à dire qu'il est aussi agréable que celui de la version SVT 2004, dont la puissance est de 170 chevaux. Côté consommation, on a obtenu une cote moyenne de 9,7 litres aux 100 kilomètres, et ce malgré une conduite parfois délinquante.Comme il se doit, la Focus est offerte de série avec une boîte manuelle à 5 rapports, dont l'étagement est exemplaire. Le levier de vitesses est précis et le passage des rapports se fait facilement. Évidemment, une boîte automatique à 4 rapports est offerte contre supplément, sauf sur le modèle ST, qui se veut la version sportive du lot.
Comportement
Après seulement quelques kilomètres de parcouru, le conducteur appréciera le caractère européen de la voiture. Son comportement routier général surpasse celui de la majorité des asiatiques comparables, comme la Nissan Sentra ou la Honda Civic, et se trouve à des années-lumière en avance sur celui d'un Chevrolet Cavalier. Pourvue d'un bon châssis, la voiture se refuse tout bruit de caisse et grincement quelconque. La suspension, indépendante aux quatre roues, allie confort et fermeté, tout en absorbant avec aisance les imperfections de la route. Même si la voiture présente un certain roulis en virage, sa stabilité étonne. Les plus téméraires remarqueront cependant que la voiture a parfois tendance à vouloir survirer, ce qui signifie que le train arrière pourrait vouloir passer devant, si la courbe était négociée avec trop d'ardeur.