Les sentiers près de chez nous sont juste assez larges pour permettre aux véhicules hors route comme le Jeep Wrangler de s’y faufiler, alors le Raptor se fait égratigner par les buissons et les branches. Et à un endroit en particulier, j’ai dû rebrousser chemin parce que le sentier était plus assez largerapetissait trop pour y passer. De plus, stationner le Raptor au centre commercial nécessite une habilité remarquée.
En parlant de stationnement, cette configuration à cabine allongée ne facilite rienest pas idéale avec des enfants, parce qu’on doit laisser la porte avant entrouverte pour laisser passer les occupants arrière à travers leur demie-porte. Et puisque la camionnette est si large, il n’y a pas grand espace pour débarquer entre elle et le véhicule garé à ses côtés.
À l’intérieur, le Raptor obtient des garnitures de couleur assortie à la carrosserie en option, tels que des plastiques sur la planche de bord central, qui a l’air un peu bizarre aux côtés des couleurs gris et argent. Les sièges en cuir et en tissu reçoivent aussi des accents de couleur, et n’oublions pas cette bande en cuir orange sur le volant.
Le tableau de bord reflète purement le F-150, avec ses qualités et ses défauts : plastiques de bonne qualité, design intéressant, mais minuscules boutons du système de climatisation, qui vous forcent à quitter la route des yeux pour les manipuler. Le Raptor dispose également d’instruments noir sur blanc, d’un bouton pour activer le mode hors route, du système multimédia SYNC de série ainsi que d’un système de navigation et d’une caméra de recul optionnels; cette dernière est plutôt appréciée.
Ford a fait un bon travail au niveau esthétique, puisque le SVT Raptor se distingue facilement des autres F-150. Avec sa calandre noircie, ses fausses prises d’air sur le capot, ses passages de roues musclées et ses graphiques pixélisés sur la caisse, cette camionnette attire autant d’attention que n’importe quelle voiture exotique que j’ai parfois l’opportunité d’essayer. Tout le monde, et je dis bien tout le monde, aime l’apparence agressive de ce Raptor.
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| À l’intérieur, le Raptor obtient des garnitures de couleur assortie à la carrosserie en option. (Photo: Michel Deslauriers/Auto123.com) |
En parlant de stationnement, cette configuration à cabine allongée ne facilite rienest pas idéale avec des enfants, parce qu’on doit laisser la porte avant entrouverte pour laisser passer les occupants arrière à travers leur demie-porte. Et puisque la camionnette est si large, il n’y a pas grand espace pour débarquer entre elle et le véhicule garé à ses côtés.
À l’intérieur, le Raptor obtient des garnitures de couleur assortie à la carrosserie en option, tels que des plastiques sur la planche de bord central, qui a l’air un peu bizarre aux côtés des couleurs gris et argent. Les sièges en cuir et en tissu reçoivent aussi des accents de couleur, et n’oublions pas cette bande en cuir orange sur le volant.
Le tableau de bord reflète purement le F-150, avec ses qualités et ses défauts : plastiques de bonne qualité, design intéressant, mais minuscules boutons du système de climatisation, qui vous forcent à quitter la route des yeux pour les manipuler. Le Raptor dispose également d’instruments noir sur blanc, d’un bouton pour activer le mode hors route, du système multimédia SYNC de série ainsi que d’un système de navigation et d’une caméra de recul optionnels; cette dernière est plutôt appréciée.
Ford a fait un bon travail au niveau esthétique, puisque le SVT Raptor se distingue facilement des autres F-150. Avec sa calandre noircie, ses fausses prises d’air sur le capot, ses passages de roues musclées et ses graphiques pixélisés sur la caisse, cette camionnette attire autant d’attention que n’importe quelle voiture exotique que j’ai parfois l’opportunité d’essayer. Tout le monde, et je dis bien tout le monde, aime l’apparence agressive de ce Raptor.
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| Le SVT Raptor attire beaucoup d’attention. (Photo: Michel Deslauriers/Auto123.com) |