Comme il se doit, la M possède d'excellent sièges. Ceux-ci procurent tout le confort nécessaire pour une belle balade jusque chez grand-mère et tout le support requis pour une promenade excitante sur les routes sinueuses de campagne. Les passagers arrière ne sont pas en reste, surtout quand la voiture est équipée de l'ensemble Privilège, qui inclut des sièges arrière chauffants et inclinables à commande électrique et un pare-soleil de lunette arrière à commande électrique. L'habitacle de la M est assemblé et fini d'une main de maître, avec un grand souci du détail. Tout le monde, moi compris, a bien aimé les portes arrière qui s'ouvrent sur 80 degrés.
YBYAV8
Telle est l'inscription qu'on retrouvait sur le moteur de la Porsche 911 il y a quelques années. Un gros V8 musclé est toujours fantastique (sauf à la station-service), mais avec l'existence de moteurs à six cylindres à haut rendement, il justifie difficilement son supplément. Le fameux «VQ» de Nissan est un merveilleux exemple de la technologie et de l'ingénierie à leur meilleur. S'il subsistait encore le moindre doute dans mon esprit quant à la performance de ce moteur, il a été anéanti lors de ma semaine au volant de la M35x. Avec ce V6, Nissan offre une puissance -- atmosphérique, et non forcée -- qui varie entre 255 et 306 chevaux. Dans le cas de la M35, il développe 275 chevaux et 268 lb-pi de couple. Cette puissance est plus que suffisante pour catapulter la berline de 1800 kilos au-delà de la limite de vitesse permise. Chemin faisant, la consommation d'essence moyenne s'établit à environ 15 L/100 km.
La transmission automatique à cinq rapports de la M est remarquablement performante. Elle effectue des passages rapides et convaincants. En mode manuel, la commande des gaz devient plus active afin de réagir efficacement au régime du moteur et de la transmission. La seule façon d'améliorer cette motorisation serait d'ajouter des palettes sur le volant. Quand vient le temps de freiner, la pédale s'avère sensible et la réponse des freins est puissante et instantanée. En contrepartie, la direction m'a déçu: le très peu de feedback qu'on ressent semble artificiel.
Le luxe sportif
La M repose sur une suspension dynamique qui n'est pas faite pour tous les goûts. La stabilité à haute vitesse et la tenue de route en virage sont exemplaires mais, malheureusement, le faible débattement des roues se traduit par un roulement dur sur les routes détériorées. On voit qu'Infiniti a fait des efforts pour trouver un équilibre entre confort et maniabilité mais, à mon avis, ils n'ont pas tout à fait atteint leur objectif.
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| Pas besoin d'un V8 quand on a ce V6 de 3,5 litres. |
YBYAV8
Telle est l'inscription qu'on retrouvait sur le moteur de la Porsche 911 il y a quelques années. Un gros V8 musclé est toujours fantastique (sauf à la station-service), mais avec l'existence de moteurs à six cylindres à haut rendement, il justifie difficilement son supplément. Le fameux «VQ» de Nissan est un merveilleux exemple de la technologie et de l'ingénierie à leur meilleur. S'il subsistait encore le moindre doute dans mon esprit quant à la performance de ce moteur, il a été anéanti lors de ma semaine au volant de la M35x. Avec ce V6, Nissan offre une puissance -- atmosphérique, et non forcée -- qui varie entre 255 et 306 chevaux. Dans le cas de la M35, il développe 275 chevaux et 268 lb-pi de couple. Cette puissance est plus que suffisante pour catapulter la berline de 1800 kilos au-delà de la limite de vitesse permise. Chemin faisant, la consommation d'essence moyenne s'établit à environ 15 L/100 km.
La transmission automatique à cinq rapports de la M est remarquablement performante. Elle effectue des passages rapides et convaincants. En mode manuel, la commande des gaz devient plus active afin de réagir efficacement au régime du moteur et de la transmission. La seule façon d'améliorer cette motorisation serait d'ajouter des palettes sur le volant. Quand vient le temps de freiner, la pédale s'avère sensible et la réponse des freins est puissante et instantanée. En contrepartie, la direction m'a déçu: le très peu de feedback qu'on ressent semble artificiel.
Le luxe sportif
La M repose sur une suspension dynamique qui n'est pas faite pour tous les goûts. La stabilité à haute vitesse et la tenue de route en virage sont exemplaires mais, malheureusement, le faible débattement des roues se traduit par un roulement dur sur les routes détériorées. On voit qu'Infiniti a fait des efforts pour trouver un équilibre entre confort et maniabilité mais, à mon avis, ils n'ont pas tout à fait atteint leur objectif.
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| Le faible débattement des roues se traduit par un roulement dur. |