Tenir bon au volant
Avec une cavalerie aussi imposante et déchaînée, mieux vaut garder deux mains fermes sur le volant gainé de cuir à base plate.
Pendant qu'elle libérait un rugissement grave que très peu de modèles de série arrivent à égaler, la Chrysler 300 SRT8 2012 découpait la piste en morceaux telle la défunte Dodge Viper. Je l'ai chronométrée de 0 à 100 km/h en moins de 4,5 secondes.
Remarquablement athlétique, sa tenue de route impressionne autant que sa force d'accélération du tonnerre. Bien qu'elle ne s'approche pas du niveau de compétence d'une BMW M5, surtout en termes d'équilibre et d'agilité dans les courbes, la grosse berline américaine se montre considérablement tenace, précise et assurée d'un virage à l'autre.
Sa corpulence se fait nettement sentir quand on la pousse à la limite, quoique ladite limite dépasse probablement tout ce qu'on attend d'une telle voiture. Par surcroît, la Chrysler 300 SRT8 sait conserver sa nature raffinée quand on ne l'encourage pas à commettre des actes de folie.
L'agréable comportement routier de cette berline découle en partie de sa suspension à amortissement adaptatif, qui alterne entre souplesse et fermeté au moment opportun. L'antidérapage électronique à trois modes ainsi que les pneus Goodyear Eagle RS-A 245/45R20 mettent également l'épaule à la roue quand on délaisse les balades tranquilles pour vivre les sensations du NASCAR.
Voilà possiblement le meilleur attribut de cette Chrysler unique au monde.
Puissance, performance... et espace
La Chrysler 300 SRT8 2012 accueille cinq occupants dans un environnement spacieux et confortable. J'imagine les acheteurs potentiels supplier leur conjointe et leurs enfants de sortir de la Dodge Grand Caravan pour aller jeter un coup d'œil à la redoutable bête au fond de la salle d’exposition d'un concessionnaire Chrysler. « Mais non, chérie, je t'assure : c'est une berline familiale! ».
Si l'argument de la berline familiale réussit à les convaincre, il restera une dernière embûche : le prix. Avec un PDSF de 48 995 $ pour la 300 SRT8 2012 de base, la Grand Caravan n’est pas si mal après tout.
Avec une cavalerie aussi imposante et déchaînée, mieux vaut garder deux mains fermes sur le volant gainé de cuir à base plate.
Pendant qu'elle libérait un rugissement grave que très peu de modèles de série arrivent à égaler, la Chrysler 300 SRT8 2012 découpait la piste en morceaux telle la défunte Dodge Viper. Je l'ai chronométrée de 0 à 100 km/h en moins de 4,5 secondes.
Remarquablement athlétique, sa tenue de route impressionne autant que sa force d'accélération du tonnerre. Bien qu'elle ne s'approche pas du niveau de compétence d'une BMW M5, surtout en termes d'équilibre et d'agilité dans les courbes, la grosse berline américaine se montre considérablement tenace, précise et assurée d'un virage à l'autre.
Sa corpulence se fait nettement sentir quand on la pousse à la limite, quoique ladite limite dépasse probablement tout ce qu'on attend d'une telle voiture. Par surcroît, la Chrysler 300 SRT8 sait conserver sa nature raffinée quand on ne l'encourage pas à commettre des actes de folie.
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| Pendant qu'elle libérait un rugissement grave, la Chrysler 300 SRT8 2012 découpait la piste en morceaux telle la défunte Dodge Viper. (Photo: Chrysler) |
L'agréable comportement routier de cette berline découle en partie de sa suspension à amortissement adaptatif, qui alterne entre souplesse et fermeté au moment opportun. L'antidérapage électronique à trois modes ainsi que les pneus Goodyear Eagle RS-A 245/45R20 mettent également l'épaule à la roue quand on délaisse les balades tranquilles pour vivre les sensations du NASCAR.
Voilà possiblement le meilleur attribut de cette Chrysler unique au monde.
Puissance, performance... et espace
La Chrysler 300 SRT8 2012 accueille cinq occupants dans un environnement spacieux et confortable. J'imagine les acheteurs potentiels supplier leur conjointe et leurs enfants de sortir de la Dodge Grand Caravan pour aller jeter un coup d'œil à la redoutable bête au fond de la salle d’exposition d'un concessionnaire Chrysler. « Mais non, chérie, je t'assure : c'est une berline familiale! ».
Si l'argument de la berline familiale réussit à les convaincre, il restera une dernière embûche : le prix. Avec un PDSF de 48 995 $ pour la 300 SRT8 2012 de base, la Grand Caravan n’est pas si mal après tout.
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