Simplement merveilleux
Là où le X6 M séduit et se démarque davantage, c’est à l’intérieur. Habillé de cuir Merino/alcantara orange Shakir, l’habitacle a de quoi faire rêver n’importe quel homme ou femme d’affaires. À partir du siège du conducteur, le tableau de bord paraît dégagé et très fonctionnel. Utiliser l’interface iDrive se veut aujourd’hui nettement plus simple. Je dis «simple» parce qu’en configurant les paramètres du bouton «M» sur le volant, je réglais tout à «Max».
Pour profiter de l’entière saveur du X6 M, BMW nous a fait cadeau de merveilleux sièges qu’on ne veut jamais quitter. Les multiples ajustements possibles garantissent un confort et un soutien optimaux, ce qui se traduit par une position de conduite exceptionnelle. Le volant sport M figure parmi les plus épais et costauds qui soient et la prise s’avère parfaite — une bonne chose car les mains deviennent passablement moites à conduire le protégé de l’Empereur.
Mes reproches touchent surtout la visibilité arrière, possiblement la pire offerte sur le marché. En outre, l’accès aux places arrière est compliqué par l’étroitesse du bas de l’ouverture des portes et la ligne de toit très inclinée. J’ai fini! Oh, il est toujours laid…
Où le M importe
Bien sûr, qui dit «M», dit moteur monstrueux. Ici, on parle d’un V8 biturbo de 4,4 litres qui développe 555 chevaux et 500 livres-pied de couple. Croyez-moi, avec de tels chiffres, vous ne souffrirez d’aucun complexe d’infériorité! Le X6 M agresse la chaussée à l’aide de ses quatre roues motrices, sans oublier la boîte automatique M Sport à six rapports avec mode manuel.
Cours de maths 101 : si un véhicule de 2415 kilos (5313 livres) peut atteindre 100 km/h en 4,7 secondes, combien de temps mettrez-vous avant d’atteindre l’orgasme? Vite, très très vite! Même si les lois non écrites d’Allemagne stipulent une limite de 250 km/h pour tous les véhicules qui y sont construits, je suis à peu près certain que le «1» suivant l’indication du 300 km/h fait référence à «Mach 1» et non au fait que le réservoir d’essence est plein. Du moins, c’est ma théorie. Il est impossible de garder ce réservoir rempli à pleine capacité pendant plus de quelques secondes, mon modèle d’essai ayant brûlé en moyenne 16,5 litres d’or noir aux 100 kilomètres au bout d’une semaine complète sur la route (plus de 500 kilomètres). Heureusement que la performance électrisante compense…
Là où le X6 M séduit et se démarque davantage, c’est à l’intérieur. Habillé de cuir Merino/alcantara orange Shakir, l’habitacle a de quoi faire rêver n’importe quel homme ou femme d’affaires. À partir du siège du conducteur, le tableau de bord paraît dégagé et très fonctionnel. Utiliser l’interface iDrive se veut aujourd’hui nettement plus simple. Je dis «simple» parce qu’en configurant les paramètres du bouton «M» sur le volant, je réglais tout à «Max».
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| BMW nous a fait cadeau de merveilleux sièges qu’on ne veut jamais quitter. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Pour profiter de l’entière saveur du X6 M, BMW nous a fait cadeau de merveilleux sièges qu’on ne veut jamais quitter. Les multiples ajustements possibles garantissent un confort et un soutien optimaux, ce qui se traduit par une position de conduite exceptionnelle. Le volant sport M figure parmi les plus épais et costauds qui soient et la prise s’avère parfaite — une bonne chose car les mains deviennent passablement moites à conduire le protégé de l’Empereur.
Mes reproches touchent surtout la visibilité arrière, possiblement la pire offerte sur le marché. En outre, l’accès aux places arrière est compliqué par l’étroitesse du bas de l’ouverture des portes et la ligne de toit très inclinée. J’ai fini! Oh, il est toujours laid…
Où le M importe
Bien sûr, qui dit «M», dit moteur monstrueux. Ici, on parle d’un V8 biturbo de 4,4 litres qui développe 555 chevaux et 500 livres-pied de couple. Croyez-moi, avec de tels chiffres, vous ne souffrirez d’aucun complexe d’infériorité! Le X6 M agresse la chaussée à l’aide de ses quatre roues motrices, sans oublier la boîte automatique M Sport à six rapports avec mode manuel.
Cours de maths 101 : si un véhicule de 2415 kilos (5313 livres) peut atteindre 100 km/h en 4,7 secondes, combien de temps mettrez-vous avant d’atteindre l’orgasme? Vite, très très vite! Même si les lois non écrites d’Allemagne stipulent une limite de 250 km/h pour tous les véhicules qui y sont construits, je suis à peu près certain que le «1» suivant l’indication du 300 km/h fait référence à «Mach 1» et non au fait que le réservoir d’essence est plein. Du moins, c’est ma théorie. Il est impossible de garder ce réservoir rempli à pleine capacité pendant plus de quelques secondes, mon modèle d’essai ayant brûlé en moyenne 16,5 litres d’or noir aux 100 kilomètres au bout d’une semaine complète sur la route (plus de 500 kilomètres). Heureusement que la performance électrisante compense…
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| Voici le monstrueux V8 biturbo de 4,4 litres qui développe 555 chevaux. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |