L'aménagement du tableau de bord mise sur un style résolument moderne. Un style créé par Chris Bangle et son équipe, entre autres, pour la Z4, qui présente cependant quelques irritants. Par exemple, l'emplacement très (trop ?) discret du bouton servant à ouvrir la boîte à gants, que je n'ai découvert qu'après deux jours d'utilisation du véhicule faute d'avoir un manuel de l'utilisateur sous la main !
En revanche, le sélecteur de vitesses de la boîte automatique tombe bien dans la main et favorise l'utilisation de son mode séquentiel. La commande de l'interface iDrive, placée juste à côté, est également accessible. Dommage, toutefois, que ce système exige tant d'attention de la part du conducteur.
Excellents baquets
Les sièges avant contribuent à l'agrément de conduite de ce véhicule. Ces baquets réglables sont confortables et moulants à souhait et procurent un maintien latéral apprécié quand on aborde des courbes serrées.
Les places arrière, qui conviennent à deux adultes ou trois, au besoin, sont d'accès difficile en raison de l'angle d'ouverture limité des portières. Ajoutez à cela la garde au sol très élevée de 21 centimètres (20 dans le cas du Mercedes Classe M) qui impose une grande enjambée aux passagers montant à bord, et ce, autant devant que derrière. Si bien, qu'en hiver, il est difficile de ne pas salir le bas de son pantalon en embarquant.
Le champ de vision avant et des trois quarts est convenable. Par contre, vers l'arrière, on ne voit pas grand-chose au moment d'effectuer une manoeuvre de stationnement. Les deux gros rétroviseurs extérieurs compensent partiellement ce handicap, de même qu'une caméra arrière proposée avec l'ensemble Technology (+4500 $) offert en option, qui comprend également un système de navigation sur l'écran duquel l'image captée par la caméra s'affiche. Mais encore, quand l'objectif de la caméra arrière est obstrué par la saleté (ce qui est fréquent en hiver), l'absence d'une image claire n'aide en rien. Alors, il ne reste qu'à garer ce gros utilitaire au jugé et aux bang !
En revanche, le sélecteur de vitesses de la boîte automatique tombe bien dans la main et favorise l'utilisation de son mode séquentiel. La commande de l'interface iDrive, placée juste à côté, est également accessible. Dommage, toutefois, que ce système exige tant d'attention de la part du conducteur.
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| Le sélecteur de vitesses tombe bien dans la main et favorise l'utilisation du mode séquentiel. |
Excellents baquets
Les sièges avant contribuent à l'agrément de conduite de ce véhicule. Ces baquets réglables sont confortables et moulants à souhait et procurent un maintien latéral apprécié quand on aborde des courbes serrées.
Les places arrière, qui conviennent à deux adultes ou trois, au besoin, sont d'accès difficile en raison de l'angle d'ouverture limité des portières. Ajoutez à cela la garde au sol très élevée de 21 centimètres (20 dans le cas du Mercedes Classe M) qui impose une grande enjambée aux passagers montant à bord, et ce, autant devant que derrière. Si bien, qu'en hiver, il est difficile de ne pas salir le bas de son pantalon en embarquant.
Le champ de vision avant et des trois quarts est convenable. Par contre, vers l'arrière, on ne voit pas grand-chose au moment d'effectuer une manoeuvre de stationnement. Les deux gros rétroviseurs extérieurs compensent partiellement ce handicap, de même qu'une caméra arrière proposée avec l'ensemble Technology (+4500 $) offert en option, qui comprend également un système de navigation sur l'écran duquel l'image captée par la caméra s'affiche. Mais encore, quand l'objectif de la caméra arrière est obstrué par la saleté (ce qui est fréquent en hiver), l'absence d'une image claire n'aide en rien. Alors, il ne reste qu'à garer ce gros utilitaire au jugé et aux bang !
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| Les sièges avant sont confortables et moulants à souhait et procurent un maintien latéral apprécié. |