Naturellement ce surplus de puissance demande certains ajustements du train roulant par rapport à la version de base. Les ressorts et les amortisseurs sont raffermis, l'antiroulis plus généreux et la direction plus directe. Le freinage est identique mais la monte pneumatique passe de 175/65R15 à 195/55R16, voire 205/45R17 en option (comme c'était le cas sur notre voiture d'essai). De plus sur la Cooper S, l'implication de BMW se fait sentir d'avantage avec un nombre important d'aide à la conduite électronique issue du bureau d'ingénierie de Munich. Ainsi l'antipatinage (contrôle de traction ASC+T), en option sur les versions inférieures, est monté d'office, mais il faudra toujours prévoir un supplément pour s'offrir le contrôle de stabilité DSCIII, un surplus qui en vaut la peine si vous avez l'intention de mettre en pratique les talents de "slalomeur" de la voiture.
Au volant, la position de conduite enveloppante gracieuseté de sièges bien sculptés, n'est entravée que par le manque de place pour le pied gauche lorsqu'il ne sert pas ou qu'il doit prendre appui pour permettre au conducteur de bien se caler dans les courbes. La direction électrohydraulique est précise et offre une excellente communion entre le conducteur et la route. Le petit 4 cylindres accompagne ses franches montées en régime d'un léger sifflement très plaisant du compresseur. Une bonne note pour le dessin de la planche de bord fidèle au modèle original et remis au goût du jour avec beaucoup de raffinement et un 9 sur 10 à la suspension très agréable qui a su canaliser le caractère sportif de la voiture sans nuire au confort. Une voiture plis dispendieuse certes, mais une petite folie qui vous donnera le sourire pour quelques années.
Naturellement ce surplus de puissance demande certains ajustements du train roulant par rapport à la version de base. Les ressorts et les amortisseurs sont raffermis, l'antiroulis plus généreux et la direction plus directe. Le freinage est identique mais la monte pneumatique passe de 175/65R15 à 195/55R16, voire 205/45R17 en option (comme c'était le cas sur notre voiture d'essai). De plus sur la Cooper S, l'implication de BMW se fait sentir d'avantage avec un nombre important d'aide à la conduite électronique issue du bureau d'ingénierie de Munich. Ainsi l'antipatinage (contrôle de traction ASC+T), en option sur les versions inférieures, est monté d'office, mais il faudra toujours prévoir un supplément pour s'offrir le contrôle de stabilité DSCIII, un surplus qui en vaut la peine si vous avez l'intention de mettre en pratique les talents de "slalomeur" de la voiture.
Au volant, la position de conduite enveloppante gracieuseté de sièges bien sculptés, n'est entravée que par le manque de place pour le pied gauche lorsqu'il ne sert pas ou qu'il doit prendre appui pour permettre au conducteur de bien se caler dans les courbes. La direction électrohydraulique est précise et offre une excellente communion entre le conducteur et la route. Le petit 4 cylindres accompagne ses franches montées en régime d'un léger sifflement très plaisant du compresseur. Une bonne note pour le dessin de la planche de bord fidèle au modèle original et remis au goût du jour avec beaucoup de raffinement et un 9 sur 10 à la suspension très agréable qui a su canaliser le caractère sportif de la voiture sans nuire au confort. Une voiture plis dispendieuse certes, mais une petite folie qui vous donnera le sourire pour quelques années.