Même la 135i est plus rapide au décollage, quoique la M3 finisse par la rattraper. La boîte de vitesses à double embrayage, maintenant offerte, rendra invariablement la voiture encore plus rapide.
D'un autre côté, si vous ne conduisez pas la M3 de la façon pour laquelle elle a été conçue, vous vous retrouverez avec une consommation moyenne de carburant similaire à la nôtre, soit 12,5 litres aux 100 kilomètres; c'est plutôt bien considérant la puissance en jeu.
Sur la route, la suspension est invariablement ferme, mais heureusement, cette voiture d'essai est équipée de la commande électronique de l'amortissement (EDC) : le système comporte trois degrés de réglage et, en conduite normale, disons, avec la famille à bord, on peut vraiment sentir une différence quand l'EDC est sur mode confort. Je recommande fortement cette option.
Des commandes chaudes à l'intérieur
Cet essai de la M3, effectué durant une semaine particulièrement chaude, nous a donné la chance de vérifier l'efficacité du système de climatisation, et il l'est. On peut également programmer une minuterie pour permettre au système de continuer de ventiler l'habitacle durant 30 minutes après en être descendu.
Montez dans la M3 quand il fait vraiment chaud, toutefois, et vous vous brûlerez littéralement la main sur la molette en titane du iDrive.
Il n'y a pas de gros changements qui se sont opérés à l'intérieur durant la métamorphose de la Série 3 à la M3. Quelques conducteurs se sont plaints de ne pas pouvoir être confortables dans les sièges à commande électrique, tandis que d'autres, dont les mains étaient plus petites, ont trouvé que le volant était trop épais.
Le tableau de bord et les panneaux de portes sont bien finis, mais un peu plus de « punch » visuel serait le bienvenu, ce qui prévaut pour beaucoup de modèles BMW. C'est la fonctionnalité avant la forme, comme on dit. Mais je commence à m'habituer avec le iDrive, et plus je l'utilise, plus il devient facile. Il demeure une distraction en conduite, quand même.
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| Sur la route, la suspension est invariablement ferme. |
D'un autre côté, si vous ne conduisez pas la M3 de la façon pour laquelle elle a été conçue, vous vous retrouverez avec une consommation moyenne de carburant similaire à la nôtre, soit 12,5 litres aux 100 kilomètres; c'est plutôt bien considérant la puissance en jeu.
Sur la route, la suspension est invariablement ferme, mais heureusement, cette voiture d'essai est équipée de la commande électronique de l'amortissement (EDC) : le système comporte trois degrés de réglage et, en conduite normale, disons, avec la famille à bord, on peut vraiment sentir une différence quand l'EDC est sur mode confort. Je recommande fortement cette option.
Des commandes chaudes à l'intérieur
Cet essai de la M3, effectué durant une semaine particulièrement chaude, nous a donné la chance de vérifier l'efficacité du système de climatisation, et il l'est. On peut également programmer une minuterie pour permettre au système de continuer de ventiler l'habitacle durant 30 minutes après en être descendu.
Montez dans la M3 quand il fait vraiment chaud, toutefois, et vous vous brûlerez littéralement la main sur la molette en titane du iDrive.
Il n'y a pas de gros changements qui se sont opérés à l'intérieur durant la métamorphose de la Série 3 à la M3. Quelques conducteurs se sont plaints de ne pas pouvoir être confortables dans les sièges à commande électrique, tandis que d'autres, dont les mains étaient plus petites, ont trouvé que le volant était trop épais.
Le tableau de bord et les panneaux de portes sont bien finis, mais un peu plus de « punch » visuel serait le bienvenu, ce qui prévaut pour beaucoup de modèles BMW. C'est la fonctionnalité avant la forme, comme on dit. Mais je commence à m'habituer avec le iDrive, et plus je l'utilise, plus il devient facile. Il demeure une distraction en conduite, quand même.
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| Quelques conducteurs se sont plaints de ne pas pouvoir être confortables dans les sièges à commande électrique. |