Ce modèle profite également d’un petit truc qu’on appelle la Direction Active Intégrale. Une façon chichi de décrire quatre roues directionnelles. Voici ce qui se passe : en deçà de 60 km/h, les roues avant et arrière sont dirigées en directions opposées (jusqu’à trois degrés de différence à l’arrière). La tendance se renverse au-delà de 60 km/h. Il en résulte une voiture excessivement maniable et confortable.
Honnêtement, je m’en fous. Voilà pourquoi : un soir j’ai « coursé » (à grande vitesse sur l’autoroute) contre une M6 de génération précédente, et il ne m’a jamais semé. Vous vous souvenez de ce j’ai dit à propos de la rotation de la Terre?
Ça paraît brutal, mais cette voiture est aux antipodes de cela. Le V8 calé à 90 degrés se veut illusoirement poli et hyper raffiné, presque à l’excès. Par ailleurs, une caractéristique généralement décevante des moteurs turbo est leur nature silencieuse. Dans la 650i, il faut vraiment monter en régime avant d’obtenir quelque sonorité satisfaisante qui soit. Sans quoi, on n’obtient qu’un doux murmure éloquent qui n’attirera pas forcément l’attention.
Heureusement, la carrosserie s’en charge, et ne manque jamais son coup. Vous savez à quoi cette voiture me fait penser? Au granite. Avez-vous déjà remarqué que personne ne peut résister l’envie de toucher le granite, et le marbre aussi, quand ils en ont devant eux? BMW a créé une pub amusante pour ce modèle. À la fin, le portier ne peut s’empêcher de toucher la voiture parce que la carrosserie reflète le paysage routier comme si la machine avançait encore. La 650i est un peu comme ça. Et même si le argent Orion métallisé n’est pas la couleur préférée de tout le monde, à mon avis elle fait des merveilles pour les courbes de cette voiture.
Toit en place ou non, la 650i attirera les mêmes regards admirateurs et critiques que Gisel Bündchen recevrait au centre d’achats. Vous savez ce dont je parle, ce balayage évaluateur de haut en bas. Lorsqu’il est en place, le toit crée un genre d’arc-boutant au-dessus de la croupe : à lui seul, cet élément esthétique mérite notre admiration.
Incontestablement attirante de l’intérieur comme de l’extérieur, la Série 6 Cabriolet constitue une vraie routière GT, avec des avantages. Lesquels? On peut confortablement trimbaler trois heureux passagers, hommes ou femmes, n’importe où. Coiffée de son toit, elle offre un bon dégagement pour la tête à l’arrière. Et le coffre s’avère étonnamment spacieux aussi. Décoiffée, on peut encore y charger un sac ou deux, beaucoup plus pratique que toute décapotable à toit rigide.
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| Toit en place ou non, la 650i attirera les mêmes regards admirateurs et critiques que Gisel Bündchen recevrait au centre d’achats. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |
Honnêtement, je m’en fous. Voilà pourquoi : un soir j’ai « coursé » (à grande vitesse sur l’autoroute) contre une M6 de génération précédente, et il ne m’a jamais semé. Vous vous souvenez de ce j’ai dit à propos de la rotation de la Terre?
Ça paraît brutal, mais cette voiture est aux antipodes de cela. Le V8 calé à 90 degrés se veut illusoirement poli et hyper raffiné, presque à l’excès. Par ailleurs, une caractéristique généralement décevante des moteurs turbo est leur nature silencieuse. Dans la 650i, il faut vraiment monter en régime avant d’obtenir quelque sonorité satisfaisante qui soit. Sans quoi, on n’obtient qu’un doux murmure éloquent qui n’attirera pas forcément l’attention.
Heureusement, la carrosserie s’en charge, et ne manque jamais son coup. Vous savez à quoi cette voiture me fait penser? Au granite. Avez-vous déjà remarqué que personne ne peut résister l’envie de toucher le granite, et le marbre aussi, quand ils en ont devant eux? BMW a créé une pub amusante pour ce modèle. À la fin, le portier ne peut s’empêcher de toucher la voiture parce que la carrosserie reflète le paysage routier comme si la machine avançait encore. La 650i est un peu comme ça. Et même si le argent Orion métallisé n’est pas la couleur préférée de tout le monde, à mon avis elle fait des merveilles pour les courbes de cette voiture.
Toit en place ou non, la 650i attirera les mêmes regards admirateurs et critiques que Gisel Bündchen recevrait au centre d’achats. Vous savez ce dont je parle, ce balayage évaluateur de haut en bas. Lorsqu’il est en place, le toit crée un genre d’arc-boutant au-dessus de la croupe : à lui seul, cet élément esthétique mérite notre admiration.
Incontestablement attirante de l’intérieur comme de l’extérieur, la Série 6 Cabriolet constitue une vraie routière GT, avec des avantages. Lesquels? On peut confortablement trimbaler trois heureux passagers, hommes ou femmes, n’importe où. Coiffée de son toit, elle offre un bon dégagement pour la tête à l’arrière. Et le coffre s’avère étonnamment spacieux aussi. Décoiffée, on peut encore y charger un sac ou deux, beaucoup plus pratique que toute décapotable à toit rigide.
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| La pièce maîtresse : le système iDrive et son énorme écran flottant à ACL haute résolution de 10,3 pouces. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |