Il est possible que la publicité médiatique ait quelque chose à voir là-dedans. Toutefois, je crois qu'il y a un autre facteur beaucoup plus important qui entre en jeu. Voyez-vous, j'ai l'impression que les gens reconnaissent la R8 parce qu'elle leur paraît beaucoup plus accessible. En effet, avec son prix de base de 139 000 $, elle n'est pas outrageusement dispendieuse comme la quasi-totalité de ses rivales. Bref, il s'agit en quelque sorte d'une voiture de rêve réaliste. Les amateurs se disent: peut-être pas maintenant, mais un jour...
Conduire à l'année
Évidemment, une voiture de rêve ne doit pas qu'être belle. Elle doit aussi livrer une performance du tonnerre (0-100 km/h en 4,6 secondes pour la R8), une tenue de route remarquable (merci au système quattro) et une fiabilité en toute saison (honnêtement, mieux vaut une voiture conçue par un grand groupe automobile qu'un petit atelier habitué à produire seulement quelques exemplaires par année, non?).
D'ailleurs, quand Audi a lancé la R8 au pays, elle a organisé un périple pancanadien pour les journalistes désireux de l'essayer. Des exemplaires de presse sont même mis à la disposition des médias par les mois d'hiver! Certes, je n'ai pas appelé chez les autres compagnies de luxe pour savoir si je pouvais conduire un de leurs bolides en février, mais j'imagine facilement leur réponse (enregistrée sur boîte vocale): «Nous sommes présentement en vacances. Revenez-nous à l'été.»
Voilà la beauté de la R8. C'est un vrai supercar dans tous les sens du terme et, en prime, on peut en profiter sans problème à l'année longue.
Que de sensations!
L'Audi R8 est extrêmement conviviale. Dans le trafic du centre-ville, je dirais même qu'elle se comporte comme n'importe quelle autre voiture. La pédale d'embrayage est légère, le levier de la boîte manuelle à 6 rapports est facile à manipuler et, hormis la visibilité arrière limitée, la conduite est aussi simple qu'avec une Toyota Corolla.
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| La Audi R8 est exotiques dans tous les sens. |
Conduire à l'année
Évidemment, une voiture de rêve ne doit pas qu'être belle. Elle doit aussi livrer une performance du tonnerre (0-100 km/h en 4,6 secondes pour la R8), une tenue de route remarquable (merci au système quattro) et une fiabilité en toute saison (honnêtement, mieux vaut une voiture conçue par un grand groupe automobile qu'un petit atelier habitué à produire seulement quelques exemplaires par année, non?).
D'ailleurs, quand Audi a lancé la R8 au pays, elle a organisé un périple pancanadien pour les journalistes désireux de l'essayer. Des exemplaires de presse sont même mis à la disposition des médias par les mois d'hiver! Certes, je n'ai pas appelé chez les autres compagnies de luxe pour savoir si je pouvais conduire un de leurs bolides en février, mais j'imagine facilement leur réponse (enregistrée sur boîte vocale): «Nous sommes présentement en vacances. Revenez-nous à l'été.»
Voilà la beauté de la R8. C'est un vrai supercar dans tous les sens du terme et, en prime, on peut en profiter sans problème à l'année longue.
Que de sensations!
L'Audi R8 est extrêmement conviviale. Dans le trafic du centre-ville, je dirais même qu'elle se comporte comme n'importe quelle autre voiture. La pédale d'embrayage est légère, le levier de la boîte manuelle à 6 rapports est facile à manipuler et, hormis la visibilité arrière limitée, la conduite est aussi simple qu'avec une Toyota Corolla.
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| Quand on a la chance d'avoir une longue ligne droite devant soi, le moteur peut déployer tous ses 420 chevaux. |