Mais tout ne peut être aussi simple, et la présence du système de gestion multimédia (MMI) d'Audi n'a rien de facile. Même si, après quelques tentatives, on finit par en comprendre le principe, son usage demeure complexe, et il faut, pour chaque changement, prévoir deux ou trois manipulations. Pas simple, par exemple, de choisir son poste de radio préféré quand il n'est pas dans la liste des stations présélectionnées !
Fort heureusement, une fois bien compris, le système (qui gère aussi la climatisation et la ventilation) se montre efficace et précis, à condition de ne pas y toucher trop souvent.
Enfin, mentionnons, pour les mordus de ce genre de truc, que le Q7 dispose d'un régulateur de vitesse adaptatif qui permet de régler une seule fois la vitesse de croisière. En utilisant le radar servant également à l'aide au stationnement, le véhicule évaluera la distance et la vitesse des véhicules qui vous précèdent pour régler sa vitesse en conséquence.
Puissant mais pas trop
Alors qu'on pourrait croire que ce gros Q7 est un peu paresseux au démarrage, il n'en est rien. On aurait bien souhaité un peu plus de décoiffant au démarrage, mais malgré tout, les 350 chevaux s'emballent avec aisance.
Quant à la boîte de vitesses Tiptronic à laquelle la motorisation est jumelée, elle est rapide et délicate, intervenant au bon moment lors des décélérations. On la souhaiterait tout de même plus rapide en accélération, elle qui réagit parfois avec hésitation.
Et finalement, impossible de passer sous silence le très performant et ultra efficace système quattro d'Audi, un système de transmission intégrale dont les qualités ne sont plus à vanter et qui réagit avec grande transparence et précision.
La beauté des multisegments, c'est qu'ils réunissent toutes les qualités de toutes les catégories de voitures. Dans le cas du Q7, on ne peut parler d'une conduite s'apparentant à celle d'une berline, puisque les dimensions du véhicule filtrent ce genre de sensation. On peut difficilement parler aussi de conduite sportive, bien que le moteur de 350 chevaux soit hautement compétent. Mais on peut bien parler d'un amalgame de tout cela qui saura plaire à ceux qui, à la recherche de luxe, ne jurent que par une grande polyvalence. De ce point de vue, le Q7 est plus qu'à la hauteur.
photo:Philippe Champoux
Fort heureusement, une fois bien compris, le système (qui gère aussi la climatisation et la ventilation) se montre efficace et précis, à condition de ne pas y toucher trop souvent.
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| Une fois bien compris, le système de gestion mutltimédia (MMI) se montre efficace et précis. |
Enfin, mentionnons, pour les mordus de ce genre de truc, que le Q7 dispose d'un régulateur de vitesse adaptatif qui permet de régler une seule fois la vitesse de croisière. En utilisant le radar servant également à l'aide au stationnement, le véhicule évaluera la distance et la vitesse des véhicules qui vous précèdent pour régler sa vitesse en conséquence.
Puissant mais pas trop
Alors qu'on pourrait croire que ce gros Q7 est un peu paresseux au démarrage, il n'en est rien. On aurait bien souhaité un peu plus de décoiffant au démarrage, mais malgré tout, les 350 chevaux s'emballent avec aisance.
Quant à la boîte de vitesses Tiptronic à laquelle la motorisation est jumelée, elle est rapide et délicate, intervenant au bon moment lors des décélérations. On la souhaiterait tout de même plus rapide en accélération, elle qui réagit parfois avec hésitation.
Et finalement, impossible de passer sous silence le très performant et ultra efficace système quattro d'Audi, un système de transmission intégrale dont les qualités ne sont plus à vanter et qui réagit avec grande transparence et précision.
La beauté des multisegments, c'est qu'ils réunissent toutes les qualités de toutes les catégories de voitures. Dans le cas du Q7, on ne peut parler d'une conduite s'apparentant à celle d'une berline, puisque les dimensions du véhicule filtrent ce genre de sensation. On peut difficilement parler aussi de conduite sportive, bien que le moteur de 350 chevaux soit hautement compétent. Mais on peut bien parler d'un amalgame de tout cela qui saura plaire à ceux qui, à la recherche de luxe, ne jurent que par une grande polyvalence. De ce point de vue, le Q7 est plus qu'à la hauteur.
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| On peut difficilement parler de conduite sportive, bien que le moteur de 350 chevaux soit hautement compétent. |
photo:Philippe Champoux
Audi Q7 4.2 quattro Premium 2008
Audi Q7 4.2 quattro Premium 2008
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