Je me suis rendu à Québec il y a quelques semaines pour voir ce que MINI fait de bon ces jours-ci, en l’occurrence le Red Bull Crashed Ice, et me suis mis à penser à l’acquisition de BMW il y a longtemps. Le constructeur avait-il imaginé la direction que prendrait la marque et l’aventure qui l’attendait?
À mon avis, l’intérêt principal était de mettre la main sur la marque Range Rover, et non Rover (les voitures) ou MG. N’oubliez pas qu’à l’époque, les X1, X3, X5 et X6 n’existaient pas. L’idée était d’injecter quelques VUS de luxe dans le catalogue, et c’est ce que BMW a fait… à très grande perte. Elle a évidemment tiré des leçons de l’expérience Range Rover, comme en témoignent tous ces X. On continue…
Les Mini et MINI figurent parmi une poignée de modèles qui transcendent les époques, comme la Volkswagen Beetle et la Fiat 500. Vous apercevez une MINI, et vous savez que c’est une MINI. Uniquement pour cette raison, BMW n’aurait pas dû dépenser une cenne en marketing, mais elle investit à gauche et à droite. Or, BMW construit une armée de MINI.
Entre la dernière-née, la MINI Countryman piquée par une araignée radioactive et dont la Paceman volera bientôt la vedette (j’ai cassé votre party là, hein?). La Countryman est le premier multisegement de MINI, mais je préfère la qualifier de familiale. Les inconditionnels de MINI soutiendront que a) les familiales ne sont pas cool et b) la Countryman est trop grande et costaude pour une familiale. Je ne suis pas d’accord.
C’est une familiale qui a d’autres habilités, c’est tout. En effet, il ne s’agit que de la deuxième MINI dotée d’une transmission intégrale jamais produite. La première? La Mini Moke, offerte uniquement en Europe et en Australie de 1964 à 1989. Mais comme tous les héros des bandes dessinées des années 60, la Moke était grande et maigre et ne ferait pas peur à un écureuil. Nos super héros aujourd’hui sont des boules de muscles, comme la Countryman.
En parlant de costaude. La Countryman mérite ce qualificatif de par son devant robuste, ses grandes épaules arrondies et sa compacité générale. Elle présente quatre portières, une ligne de toit allongée et un hayon : on parle donc d’une familiale. J’ai gagné. Et elle me fait penser à un chiot carling, donc oui, elle est mignonne comme tout. Voilà, je l’ai dit.
À mon avis, l’intérêt principal était de mettre la main sur la marque Range Rover, et non Rover (les voitures) ou MG. N’oubliez pas qu’à l’époque, les X1, X3, X5 et X6 n’existaient pas. L’idée était d’injecter quelques VUS de luxe dans le catalogue, et c’est ce que BMW a fait… à très grande perte. Elle a évidemment tiré des leçons de l’expérience Range Rover, comme en témoignent tous ces X. On continue…
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| La Countryman est le premier multisegement de MINI, mais je préfère la qualifier de familiale. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Les Mini et MINI figurent parmi une poignée de modèles qui transcendent les époques, comme la Volkswagen Beetle et la Fiat 500. Vous apercevez une MINI, et vous savez que c’est une MINI. Uniquement pour cette raison, BMW n’aurait pas dû dépenser une cenne en marketing, mais elle investit à gauche et à droite. Or, BMW construit une armée de MINI.
Entre la dernière-née, la MINI Countryman piquée par une araignée radioactive et dont la Paceman volera bientôt la vedette (j’ai cassé votre party là, hein?). La Countryman est le premier multisegement de MINI, mais je préfère la qualifier de familiale. Les inconditionnels de MINI soutiendront que a) les familiales ne sont pas cool et b) la Countryman est trop grande et costaude pour une familiale. Je ne suis pas d’accord.
C’est une familiale qui a d’autres habilités, c’est tout. En effet, il ne s’agit que de la deuxième MINI dotée d’une transmission intégrale jamais produite. La première? La Mini Moke, offerte uniquement en Europe et en Australie de 1964 à 1989. Mais comme tous les héros des bandes dessinées des années 60, la Moke était grande et maigre et ne ferait pas peur à un écureuil. Nos super héros aujourd’hui sont des boules de muscles, comme la Countryman.
En parlant de costaude. La Countryman mérite ce qualificatif de par son devant robuste, ses grandes épaules arrondies et sa compacité générale. Elle présente quatre portières, une ligne de toit allongée et un hayon : on parle donc d’une familiale. J’ai gagné. Et elle me fait penser à un chiot carling, donc oui, elle est mignonne comme tout. Voilà, je l’ai dit.
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| En parlant de costaude. La Countryman mérite ce qualificatif de par son devant robuste, ses grandes épaules arrondies et sa compacité générale. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |