Retour à la normale
Après nous avoir présenté le Compass, certains se demandaient peut-être dans quelle direction se dirigeait la marque légendaire. Un Jeep urbain, aux yeux des puristes, les purs et durs qui roulent en YJ, en TJ ou en Wrangler à longueur d'année, c'est aussi impensable que de voir Paris Hilton sans maquillage.
Et pourtant, selon les dires de Chrysler, le Compass se vend très bien. Son prix alléchant devrait être l'une des raisons expliquant son succès, car son allure ne plaît vraisemblablement pas à tout le monde. Et pour ajouter l'insulte à l'injure, aucune version du Compass n'est « Trail Rated », un vrai péché pour un Jeep.
Voici le Patriot, ou le retour à la normale.
Un air de famille indéniable
J'ai l'impression que la firme aurait pu baptiser ce VUS « Cherokee » au lieu de Patriot, et cela n'aurait offusqué personne. De toute façon, l'important, c'est que le véhicule soit instantanément reconnu comme un membre de la famille, ce qui n'est pas le cas du Compass.
Par rapport à ce dernier, les angles d'approche et d'attaque du Patriot sont fort supérieurs grâce à de courts porte-à-faux. Bon, on est toujours loin des angles du Wrangler et du Liberty, mais ce n'est quand même pas si mal.
En termes d'esthétique, je préfère la carrosserie angulaire et robuste du Patriot. Et si on le compare à d'autres petits VUS sur le marché, il est probablement celui qui attirera le plus de regards. Qu'est-ce que vous voulez, je ne connais personne qui n'aime pas les Jeep.
Rien ne change sous le capot, ou presque
Du côté de la mécanique, le Patriot ne diffère du Compass que par une caractéristique : on peut équiper les versions à 4RM de l'ensemble Freedom Drive II. Ce qui comprend la boîte CVT2L, une version remaniée de la boîte de vitesses automatique à variation continue qui a reçu peu de félicitations de la part des journalistes automobiles. La CVT2L ajoute un rapport à forte démultiplication pour améliorer les capacités hors route.
Après nous avoir présenté le Compass, certains se demandaient peut-être dans quelle direction se dirigeait la marque légendaire. Un Jeep urbain, aux yeux des puristes, les purs et durs qui roulent en YJ, en TJ ou en Wrangler à longueur d'année, c'est aussi impensable que de voir Paris Hilton sans maquillage.
Et pourtant, selon les dires de Chrysler, le Compass se vend très bien. Son prix alléchant devrait être l'une des raisons expliquant son succès, car son allure ne plaît vraisemblablement pas à tout le monde. Et pour ajouter l'insulte à l'injure, aucune version du Compass n'est « Trail Rated », un vrai péché pour un Jeep.
Voici le Patriot, ou le retour à la normale.
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| Les lignes du Patriot nous rappellent celles du défunt Cherokee. |
Un air de famille indéniable
J'ai l'impression que la firme aurait pu baptiser ce VUS « Cherokee » au lieu de Patriot, et cela n'aurait offusqué personne. De toute façon, l'important, c'est que le véhicule soit instantanément reconnu comme un membre de la famille, ce qui n'est pas le cas du Compass.
Par rapport à ce dernier, les angles d'approche et d'attaque du Patriot sont fort supérieurs grâce à de courts porte-à-faux. Bon, on est toujours loin des angles du Wrangler et du Liberty, mais ce n'est quand même pas si mal.
En termes d'esthétique, je préfère la carrosserie angulaire et robuste du Patriot. Et si on le compare à d'autres petits VUS sur le marché, il est probablement celui qui attirera le plus de regards. Qu'est-ce que vous voulez, je ne connais personne qui n'aime pas les Jeep.
Rien ne change sous le capot, ou presque
Du côté de la mécanique, le Patriot ne diffère du Compass que par une caractéristique : on peut équiper les versions à 4RM de l'ensemble Freedom Drive II. Ce qui comprend la boîte CVT2L, une version remaniée de la boîte de vitesses automatique à variation continue qui a reçu peu de félicitations de la part des journalistes automobiles. La CVT2L ajoute un rapport à forte démultiplication pour améliorer les capacités hors route.
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| Le Patriot partage la majorité de ses organes mécaniques avec le Compass. |