Un nouveau membre s’est joint à la famille Infiniti, et cette fois, la marque vise une clientèle un peu plus large. L’Infiniti JX 2013 est un multisegment intermédiaire à sept passagers, à transmission intégrale, cherchant à plaire aux familles à revenu élevé voulant du style, du luxe et une multitude de gadgets à prix raisonnable.
L’Infiniti JX 2013 se détaille à partir de seulement 44 995 $, soit moins que pas mal tous les autres VUS et véhicules multisegments à sept passagers, incluant les Acura MDX, Lexus GX et Lincoln MKT. En fait, seul le Buick Enclave est offert à prix moindre, mais en version à traction. Notre JX à l’essai affiche un PDSF de 58 700 $.
Cependant, il y a un compromis, c’est qu’il partage sa plateforme et ses composants mécaniques avec le tout nouveau Nissan Pathfinder 2013 : on prend donc le risque de diluer le caractère de la marque Infiniti.
Qu’à cela ne tienne, pour un gros multisegment de luxe, le JX35 livre la marchandise. Il a tout pour plaire à bien des acheteurs de multisegments de luxe. En plus de son prix attrayant, on obtient un produit bien fini, doté d’une grande liste d’équipement de série, une conduite confortable et une bonne économie d’essence. Ce n’est pas un hasard qu’il soit déjà le modèle le plus vendu chez Infiniti.
Efficacité et performance
L’Infiniti JX35 2013 est le deuxième plus gros véhicule dans la gamme derrière l’immense QX, mais c’est le moins puissant, maintenant que la berline G25 a mordu la poussière. Quand même, il n’a rien d’une tortue, car son V6 de 3,5 L développant 265 chevaux et un couple de 248 lb-pi lui permet d’accélérer de 0 à 100 km/h en 8,3 secondes.
Le JX est aussi le premier Infiniti à disposer d’une boîte automatique à variation continue (ou CVT). Ce type de boîte n’est pas la meilleure option dans un véhicule aux prétentions sportives, et tous les autres modèles au sein de la gamme Infiniti comptent sur une boîte automatique à 7 rapports, même la M35h hybride.
En revanche, on ne peut reprocher grand-chose à la boîte CVT, car elle gère très bien la puissance du moteur et procure une opération des plus fluides. À 100 km/h sur l’autoroute, le V6 tourne à seulement 1 700 tr/min. Fait intéressant, lorsqu’on sélectionne le mode Sport et qu’on écrase l’accélérateur, la boîte CVT simule des changements de rapports, un trait que j’ai aussi remarqué lorsque j’ai conduit la nouvelle Nissan Altima 2013. Toutefois, cela ne rend pas le JX plus rapide.
Le JX a consommé une moyenne de 11,7 L/100km durant notre essai, ce qui est en fait un bon résultat pour un camion de 2 000 kilos (4 400 lb) avec un espace cargo bien rempli durant un voyage au chalet. Un espace cargo très volumineux, en passant.
Alors que le multisegment FX est clairement sportif et agressif, le JX dispose d’une attitude plus docile, mettant l’emphase sur le confort de roulement. Bref, on ne le sent pas aussi dynamique et fringant que les autres membres de la famille, le QX compris. La suspension du JX n’est pas aussi ferme et la sensation de sa direction pas aussi précise.
Gros pif
L’Infiniti JX35 2013 est fort joli, avec une forme fluide caractérisée par des vagues flottant au-dessus des passages de roues avant et arrière, plus apparents dans les couleurs de carrosserie plus sombres.
Toutefois, on aime ou on n’aime pas certains éléments stylistiques comme la grille de calandre surdimensionnée et les piliers arrière recourbés. En général, votre humble serviteur apprécie grandement l’effort mis dans le design du JX, et la ressemblance familiale est indéniable.
Amateurs de gadgets, célébrez!
Notre JX à l’essai comprenant presque 14 000 $ de groupes d’options, incluant une foule de bidules électroniques de sécurité ainsi que de nombreuses caractéristiques de confort et de commodité.
Un habitacle merveilleusement bien fini accueille ses sept occupants, avec des matériaux de grande qualité et une belle disposition des commandes. Les sièges se sont avérés confortables sur les longues distances parcourues à bord du JX, quoiqu’on se demande pourquoi les accoudoirs de porte et central ne sont pas de la même hauteur.
Une nouveauté digne de mention dans le JX, c’est le nouveau système de prévention des collisions en marche arrière, qui applique les freins pour vous s’il détecte un contact imminent avec un objet derrière vous, qu’il soit en mouvement ou non. Le dispositif m’empêchait ultimement de virer de bord dans un sentier étroit car je tentais de reculer dans des herbages de six pieds de hauteur. Je témoigne donc que le système fonctionne.
Le système de caméras à 360 degrés avec lentilles à grand angle à l’avant, à l’arrière et sous les rétroviseurs extérieurs, et très pratique pour aligner le gros JX dans un espace de stationnement. Vous aurez l’air d’un ou d’une pro.
On obtient aussi la liste habituelle de caractéristiques digne d’un véhicule de luxe, comme la surveillance des angles morts, la détection et la prévention de sortie de voie, le régulateur de vitesse adaptatif, l’avertissement précollision, la caméra de recul, les sièges avant ventilés et les sièges de deuxième rangée chauffants ainsi qu’un système de divertissement par DVD à l’arrière avec casques d’écoute sans fil.
Cependant, quelques gadgets sont moins agréables que d’autres. Des hayons à commande électrique ne me dérangent pas, mais pas quand je n’ai pas la possibilité de les ouvrir manuellement, surtout que celui du JX est lent à ouvrir et à fermer et inclut un avertissement sonore assez irritant.
L’Infiniti JX 2013 se détaille à partir de seulement 44 995 $, soit moins que pas mal tous les autres VUS et véhicules multisegments à sept passagers, incluant les Acura MDX, Lexus GX et Lincoln MKT. En fait, seul le Buick Enclave est offert à prix moindre, mais en version à traction. Notre JX à l’essai affiche un PDSF de 58 700 $.
Cependant, il y a un compromis, c’est qu’il partage sa plateforme et ses composants mécaniques avec le tout nouveau Nissan Pathfinder 2013 : on prend donc le risque de diluer le caractère de la marque Infiniti.
Qu’à cela ne tienne, pour un gros multisegment de luxe, le JX35 livre la marchandise. Il a tout pour plaire à bien des acheteurs de multisegments de luxe. En plus de son prix attrayant, on obtient un produit bien fini, doté d’une grande liste d’équipement de série, une conduite confortable et une bonne économie d’essence. Ce n’est pas un hasard qu’il soit déjà le modèle le plus vendu chez Infiniti.
Efficacité et performance
L’Infiniti JX35 2013 est le deuxième plus gros véhicule dans la gamme derrière l’immense QX, mais c’est le moins puissant, maintenant que la berline G25 a mordu la poussière. Quand même, il n’a rien d’une tortue, car son V6 de 3,5 L développant 265 chevaux et un couple de 248 lb-pi lui permet d’accélérer de 0 à 100 km/h en 8,3 secondes.
Le JX est aussi le premier Infiniti à disposer d’une boîte automatique à variation continue (ou CVT). Ce type de boîte n’est pas la meilleure option dans un véhicule aux prétentions sportives, et tous les autres modèles au sein de la gamme Infiniti comptent sur une boîte automatique à 7 rapports, même la M35h hybride.
En revanche, on ne peut reprocher grand-chose à la boîte CVT, car elle gère très bien la puissance du moteur et procure une opération des plus fluides. À 100 km/h sur l’autoroute, le V6 tourne à seulement 1 700 tr/min. Fait intéressant, lorsqu’on sélectionne le mode Sport et qu’on écrase l’accélérateur, la boîte CVT simule des changements de rapports, un trait que j’ai aussi remarqué lorsque j’ai conduit la nouvelle Nissan Altima 2013. Toutefois, cela ne rend pas le JX plus rapide.
Le JX a consommé une moyenne de 11,7 L/100km durant notre essai, ce qui est en fait un bon résultat pour un camion de 2 000 kilos (4 400 lb) avec un espace cargo bien rempli durant un voyage au chalet. Un espace cargo très volumineux, en passant.
Alors que le multisegment FX est clairement sportif et agressif, le JX dispose d’une attitude plus docile, mettant l’emphase sur le confort de roulement. Bref, on ne le sent pas aussi dynamique et fringant que les autres membres de la famille, le QX compris. La suspension du JX n’est pas aussi ferme et la sensation de sa direction pas aussi précise.
Gros pif
L’Infiniti JX35 2013 est fort joli, avec une forme fluide caractérisée par des vagues flottant au-dessus des passages de roues avant et arrière, plus apparents dans les couleurs de carrosserie plus sombres.
Toutefois, on aime ou on n’aime pas certains éléments stylistiques comme la grille de calandre surdimensionnée et les piliers arrière recourbés. En général, votre humble serviteur apprécie grandement l’effort mis dans le design du JX, et la ressemblance familiale est indéniable.
Amateurs de gadgets, célébrez!
Notre JX à l’essai comprenant presque 14 000 $ de groupes d’options, incluant une foule de bidules électroniques de sécurité ainsi que de nombreuses caractéristiques de confort et de commodité.
Un habitacle merveilleusement bien fini accueille ses sept occupants, avec des matériaux de grande qualité et une belle disposition des commandes. Les sièges se sont avérés confortables sur les longues distances parcourues à bord du JX, quoiqu’on se demande pourquoi les accoudoirs de porte et central ne sont pas de la même hauteur.
Une nouveauté digne de mention dans le JX, c’est le nouveau système de prévention des collisions en marche arrière, qui applique les freins pour vous s’il détecte un contact imminent avec un objet derrière vous, qu’il soit en mouvement ou non. Le dispositif m’empêchait ultimement de virer de bord dans un sentier étroit car je tentais de reculer dans des herbages de six pieds de hauteur. Je témoigne donc que le système fonctionne.
Le système de caméras à 360 degrés avec lentilles à grand angle à l’avant, à l’arrière et sous les rétroviseurs extérieurs, et très pratique pour aligner le gros JX dans un espace de stationnement. Vous aurez l’air d’un ou d’une pro.
On obtient aussi la liste habituelle de caractéristiques digne d’un véhicule de luxe, comme la surveillance des angles morts, la détection et la prévention de sortie de voie, le régulateur de vitesse adaptatif, l’avertissement précollision, la caméra de recul, les sièges avant ventilés et les sièges de deuxième rangée chauffants ainsi qu’un système de divertissement par DVD à l’arrière avec casques d’écoute sans fil.
Cependant, quelques gadgets sont moins agréables que d’autres. Des hayons à commande électrique ne me dérangent pas, mais pas quand je n’ai pas la possibilité de les ouvrir manuellement, surtout que celui du JX est lent à ouvrir et à fermer et inclut un avertissement sonore assez irritant.
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