L'art de s'améliorer
Quelque 1300$ séparent cette Hyundai en tenue de soirée de la Kia Magentis (voir autre essai), deux modèles dont l'étroit cousinage est pourtant indéniable. Moteurs V6, tableaux de bord, transmissions automatiques à quatre rapports apparentés et, l'on imagine, plusieurs composantes communes sont autant de traits que partagent ces berlines engendrées dans le même centre de recherche et développement, mais construites dans des usines distinctes.
S'il y a cousinage, force est d'admettre au terme de cet essai que ces deux modèles ne sont pas, loin de là, entièrement similaires. Sur le plan esthétique d'abord, la Sonata fait preuve de plus de personnalité que la Magentis. Certains trouveront peut-être son style trop pompier mais convenons que cette silhouette a au moins quelques années d'avance sur celle, trop anonyme, de sa consoeur sud-coréenne.
Au chapitre de la finition extérieure et intérieure, la [link artid="46064"]Sonata[/link] marque des points sur la Magentis et n'a plus à rougir face aux produits japonais. Certes, elle n'est pas encore la référence de sa catégorie mais tant le choix des matériaux, le mélange des teintes que l'attention portée aux petits détails impressionnent pour une voiture dont le prix ne dépasse pas les 26 000$.
Empruntés à la XG 350, les sièges en cuir sont d'une qualité certaine, mais on peut reprocher à ceux du conducteur et du passager de n'offrir qu'un faible support lombaire et fessier. En outre, ne cherchez pas de réglage électrique pour le siège du passager : il n'y en a pas. Moins tolérable demeure la radio incrustée au milieu de la planche de bord. Exécrables est l'épithète qui convienne à ces boutons lilliputiens qui vous feront sûrement pester.
Quelque 1300$ séparent cette Hyundai en tenue de soirée de la Kia Magentis (voir autre essai), deux modèles dont l'étroit cousinage est pourtant indéniable. Moteurs V6, tableaux de bord, transmissions automatiques à quatre rapports apparentés et, l'on imagine, plusieurs composantes communes sont autant de traits que partagent ces berlines engendrées dans le même centre de recherche et développement, mais construites dans des usines distinctes.
S'il y a cousinage, force est d'admettre au terme de cet essai que ces deux modèles ne sont pas, loin de là, entièrement similaires. Sur le plan esthétique d'abord, la Sonata fait preuve de plus de personnalité que la Magentis. Certains trouveront peut-être son style trop pompier mais convenons que cette silhouette a au moins quelques années d'avance sur celle, trop anonyme, de sa consoeur sud-coréenne.
Au chapitre de la finition extérieure et intérieure, la [link artid="46064"]Sonata[/link] marque des points sur la Magentis et n'a plus à rougir face aux produits japonais. Certes, elle n'est pas encore la référence de sa catégorie mais tant le choix des matériaux, le mélange des teintes que l'attention portée aux petits détails impressionnent pour une voiture dont le prix ne dépasse pas les 26 000$.
Empruntés à la XG 350, les sièges en cuir sont d'une qualité certaine, mais on peut reprocher à ceux du conducteur et du passager de n'offrir qu'un faible support lombaire et fessier. En outre, ne cherchez pas de réglage électrique pour le siège du passager : il n'y en a pas. Moins tolérable demeure la radio incrustée au milieu de la planche de bord. Exécrables est l'épithète qui convienne à ces boutons lilliputiens qui vous feront sûrement pester.