Le volant sport à prise épaisse, le bloc central en cascade orienté vers le conducteur et l’espace généreux pour quatre adultes créent un environnement convivial dans lequel il fait bon voyager. Comme c’est la pratique chez Volvo, toutes les commandes se manipulent avec précision et conviction.
L’Équilibre avec un grand «É»
Sur la route, l’équilibre dynamique de la Volvo S60 2011 s’observe dès les premières secondes. La voiture colle fermement à la chaussée, la direction s’avère habilement dosée par rapport à son gabarit et l’abondante motricité réussit à nous divertir et nous stimuler toute la journée.
En même temps, la S60 reste infiniment confortable grâce à un roulement solide et stable qui ne se laisse pas perturber par les défauts du bitume. Voilà ce que j’appelle un délicieux équilibre entre une tenue de route alerte et décontractée.
Vive le T6!
Une partie du mérite revient au nouveau six-cylindres turbocompressé (T6) de 3,0 litres, qui déploie sa cavalerie de manière fluide et linéaire. Il peut aussi bien nous dorloter à bas régime que nous caler au fond du siège en pleine accélération. Jamais il n’affecte la sérénité de l’habitacle, son cri n’étant vraiment présent qu’à l’approche de la zone de régime critique.
Par surcroît, le turbocompresseur s’active pratiquement sans décalage et la montée en puissance qui en résulte ne donne jamais l’impression que le moteur s’énerve ou se fatigue. Encore une fois, la S60 trouve un splendide milieu entre agressivité et docilité, entre action et relaxation.
Un essai en piste
Toute cette performance veloutée rend les excès de zèle et de vitesse terriblement faciles. J’en ai eu la confirmation par un patrouilleur routier de l’Oregon lors du lancement médiatique de la Volvo S60 2011 près de Portland. Après m’en être tiré avec un simple mais sérieux avertissement, j’ai mis la pédale douce jusqu’à ce que j’atteigne le nouveau circuit du Portland Raceway Park.
L’Équilibre avec un grand «É»
Sur la route, l’équilibre dynamique de la Volvo S60 2011 s’observe dès les premières secondes. La voiture colle fermement à la chaussée, la direction s’avère habilement dosée par rapport à son gabarit et l’abondante motricité réussit à nous divertir et nous stimuler toute la journée.
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| Comme c’est la pratique chez Volvo, toutes les commandes se manipulent avec précision et conviction. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |
En même temps, la S60 reste infiniment confortable grâce à un roulement solide et stable qui ne se laisse pas perturber par les défauts du bitume. Voilà ce que j’appelle un délicieux équilibre entre une tenue de route alerte et décontractée.
Vive le T6!
Une partie du mérite revient au nouveau six-cylindres turbocompressé (T6) de 3,0 litres, qui déploie sa cavalerie de manière fluide et linéaire. Il peut aussi bien nous dorloter à bas régime que nous caler au fond du siège en pleine accélération. Jamais il n’affecte la sérénité de l’habitacle, son cri n’étant vraiment présent qu’à l’approche de la zone de régime critique.
Par surcroît, le turbocompresseur s’active pratiquement sans décalage et la montée en puissance qui en résulte ne donne jamais l’impression que le moteur s’énerve ou se fatigue. Encore une fois, la S60 trouve un splendide milieu entre agressivité et docilité, entre action et relaxation.
Un essai en piste
Toute cette performance veloutée rend les excès de zèle et de vitesse terriblement faciles. J’en ai eu la confirmation par un patrouilleur routier de l’Oregon lors du lancement médiatique de la Volvo S60 2011 près de Portland. Après m’en être tiré avec un simple mais sérieux avertissement, j’ai mis la pédale douce jusqu’à ce que j’atteigne le nouveau circuit du Portland Raceway Park.
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| Le turbocompresseur s’active pratiquement sans décalage et la montée en puissance qui en résulte ne donne jamais l’impression que le moteur s’énerve ou se fatigue. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |