Le Touareg est offert à ses débuts avec le choix d'un V6 3,2 litres de 220 chevaux, emprunté à la Phaeton et un V8 4,2 L de 310 chevaux qui provient de l'Audi A8L. En février 2004, s'ajoutera un moteur V10 5,0L Turbodiesel de 313 chevaux qui aux dires de plusieurs experts offrira la combinaison optimum avec le véhicule. La seule boîte disponible pour les deux modèles est une transmission automatique Tiptronic à six rapports. Personnellement, je trouve le V6 sous-motorisé en plus d'être relativement gourmand en essence. Le blâme doit se porter sur les 2,200 kilos qui ne favorisent pas les reprises et la consommation. Dès que la route devient montagneuse, la transmission cherche constamment le bon rapport ce qui devient un peu fatigant à la longue. Le V8, même s'il doit traîner plus de 2 300 kilos, est pour le moment le bon choix.
Sur la route, le Touareg s'apparente plus à un BMW X5 qu'au Mercedes Classe M, grâce à la rigidité hors de l'ordinaire de son châssis qui donne un caractère plus sportif à sa conduite. En situation hors route, le Touareg porte fièrement son nom. Tout sur ce véhicule a été pensé pour les exploits hors route, de la suspension à air (en option) au mécanisme anti-recul dans les pentes. En plus d'être dotée boîte de transfert avec gamme courte, la suspension de base permet un dégagement de 237 mm qui autorise de belles prouesses. Les ressorts pneumatiques (en option) peuvent dégager de 300 mm (à condition d'évoluer à moins de 20 km/h); ce qui incite le Touareg à croiser les obstacles les plus difficiles.
Le Touareg propose même le blocage manuel du différentiel central et, en option, d'un verrouillage du pont arrière. Tous les éléments sont présents pour faire de ce véhicule le surdoué de sa classe. Ajoutée à cela un antipatinage d'une rare efficacité, un rouage " 4 motion X " qui donne une traction individuelle à chaque roue pour vous sortir des plus mauvaises situations et un porte-à-faux très court qui permet des angles d'attaque prononcés. J'affirme ne jamais avoir essayé à ce jour un véhicule aussi compétent hors route. Ni un Land-Rover, ni même un Jeep (sauf le TJ qui nous servait de guide) ne peuvent se vanter d'être capable d'accomplir tout ce que le Touareg peut faire, et sans un gramme de stress.
Sur la route, le Touareg s'apparente plus à un BMW X5 qu'au Mercedes Classe M, grâce à la rigidité hors de l'ordinaire de son châssis qui donne un caractère plus sportif à sa conduite. En situation hors route, le Touareg porte fièrement son nom. Tout sur ce véhicule a été pensé pour les exploits hors route, de la suspension à air (en option) au mécanisme anti-recul dans les pentes. En plus d'être dotée boîte de transfert avec gamme courte, la suspension de base permet un dégagement de 237 mm qui autorise de belles prouesses. Les ressorts pneumatiques (en option) peuvent dégager de 300 mm (à condition d'évoluer à moins de 20 km/h); ce qui incite le Touareg à croiser les obstacles les plus difficiles.Le Touareg propose même le blocage manuel du différentiel central et, en option, d'un verrouillage du pont arrière. Tous les éléments sont présents pour faire de ce véhicule le surdoué de sa classe. Ajoutée à cela un antipatinage d'une rare efficacité, un rouage " 4 motion X " qui donne une traction individuelle à chaque roue pour vous sortir des plus mauvaises situations et un porte-à-faux très court qui permet des angles d'attaque prononcés. J'affirme ne jamais avoir essayé à ce jour un véhicule aussi compétent hors route. Ni un Land-Rover, ni même un Jeep (sauf le TJ qui nous servait de guide) ne peuvent se vanter d'être capable d'accomplir tout ce que le Touareg peut faire, et sans un gramme de stress.